Pura fé
T13 / Bibliothèque
Avec son nouvel album Sacred Seed, Pura Fé remonte aux sources du blues amérindien. Sur des compositions qui puisent leur force dans la tradition amérindienne pré-blues et sur des textes qui racontent les convictions humanistes de leur auteur, en plus de reprises de Duke Ellington et Norman Greenbaum, Pura Fé signe son album à la fois le plus intime et le plus aventureux.
Le trio italien Drivin Mrs Satan a eu il y a trois ans l’heureuse idée de ré-interpréter les standards du heavy métal dans un style blues / folk. Le résultat est étonnant !
Pura Fé
En 2005 sur The Last & Lost Blues Survivor, compilation du label américain Music Maker destinée à réhabiliter des musiciens oubliés, on découvrait une voix qui n’allait plus nous quitter : celle de Pura Fé, indienne Tuscarora, artiste et activiste. Trois albums ont suivi chez Dixiefrog, imposant à nos oreilles une exceptionnelle chanteuse entre folk, blues et musique traditionnelle des Amérindiens de Caroline du Nord.
Pura Fé signe aujourd’hui son arrivée chez Nueva Onda Records avec Sacred Seed (Graine sacrée), onze titres qui s’accompagnent d’une nouvelle direction artistique sous l’impulsion de Mathis Haug qui a supervisé l’enregistrement dans un mas du sud de la France. La chanteuse y abandonne sa guitare lap-steel pour se concentrer sur de merveilleuses harmonies vocales, écho au violoncelle d’Eric Longsworth parmi une orchestration épurée que complètent Stéphan Notari (piano, percussions) et Mathis lui-même (guitare, banjo).
Sur des compositions qui puisent leur force dans la tradition amérindienne pré-blues, et sur des textes qui racontent les convictions humanistes de leur auteur, en plus de reprises de Duke Ellington (« In a Sentimental Mood ») et Norman Greenbaum (« Spirit In The Sky »), Pura Fé signe son album à la fois le plus intime et le plus aventureux.
Chanteuse habitée, Pura Fé convoque les fantômes d’un blues originel, dans un mélange de scansions profondes, de banjo roots et de violoncelle au swing dépouillé. Télérama Sortir
Libérée d’un fardeau instrumental qui bridait parfois son expression, Pura Fé nous livre des envolées vocales et des harmonies magnifiques, qu’elle met au service de textes habités sur le respect de la planète. Jazz News
Impressionnante de puissance vocale et passionnante. Nova Planet
Drivin Mrs Satan
Le trio italien Drivin Mrs Satan a eu il y a trois ans l’heureuse idée de ré-interpréter les standards du heavy métal dans un style blues / folk. Une voix presque enfantine, une guitare acoustique, une contrebasse et une batterie au service du gros son des années 80. Après un premier album Popscotch publié chez Agualoca Records en 2014, le groupe est en train de travailler sur un nouvel opus (sortie prévue en fevrier 2016) avec entre-autre, une version acoustique étonnate de Antisocial de Trust et la participation de Delphine Zula et Gerald Toto, voix de Nouvelle Vague.
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