Les scènes d’été du 13 – édition 2004
T13 / Glacière
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Les scènes d’été du 13 – édition 2004

Avec Spectacles en plein air et gratuits
Du 22 juin au 18 juillet 2008
T13 / Glacière

Troisième édition d’un festival dédié aux jeunes compagnies qui alterne spectacles en salle et spectacles gratuits en plein air. Théâtre, musique, théâtre de rue, Carte Blanche à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de la Ville de Paris.

20 spectacles différents (dont 8 en plein air et gratuits), 30 représentations, et 200 artistes composent cette manifestation originale à Paris. Les Scènes d’été sont une photographie de la jeune création et un véritable tremplin pour les artistes de demain.
La créativité, l’originalité et le courage déployés pendant ce festival prouvent (à ceux qui douteraient encore) que les jeunes générations ont une parole à prendre et que le théâtre a encore de beaux jours devant lui. Et c’est parce que ces jeunes artistes sont disposés à rompre les conventions, qu’une nouvelle forme de spectacle vivant peut émerger.
Ce militantisme pour la très jeune création comporte des risques que malheureusement peu de scènes (surtout à Paris) sont disposées à prendre.
Le Théâtre 13 le revendique !
D’où cette urgence d’ouvrir un espace d’expression, où ces jeunes artistes peuvent présenter leur travail dans les meilleures conditions. Les Scènes d’été sont une nécessité : confronter les créateurs de demain, aux spectateurs d’aujourd’hui et de demain.
Les Scènes d’été sont aussi un magnifique prétexte, pendant un mois, pour faire la fête au Théâtre !

Programmation
 

22 juin – 20h30
23 juin – 20h30

Théâtre

Salomé de Oscar Wilde
Mise en scène Jérémie Le Louët – La Cie des Dramaticules

24 juin – 21h Concert
en plein air
gratuit

Gratuit
Beatbox
Polyphony Urbaine (Human Beat Box )
Mise en scène Eric Checco
Le Théâtre du voile déchiré
25 juin – 20h30
26 juin à 20h30
Théâtre Être et ne pas être
d’après Hamlet de Shakespeare
Mise en scène Orazio Massaro- Nouveau Théâtre
27 juin – 15h30 Comedia del Arte
en plein air

Gratuit
Le Médecin malgré lui
Molière
Mise en scène Nicolas Ducron – Cie de l’hyperbole à 3 poils

Ecole Supérieure d’Art Dramatique
de la Ville de Paris

Présentation publique
des travaux de fin d’année

7 spectacles du 28 juin au 4 juillet

Lundi 28 juin
à 20h30
Mardi 29 juin
à 20h30
Atelier
Tchekov : Le Départ
Atelier dirigé par Anne-Marie Lazarini
Mercredi 30 juin
à 20h30

Atelier

La Mort au Théâtre
Atelier dirigé
par Sophie Loucachevsky
Jeudi 1er juillet
à 19h00
Atelier Le malheur :
ses douleurs et ses plaisirs

Atelier d’improvisation dirigé par
Jean-Claude Cotillard
Jeudi 1er juillet
à 21h
Atelier Dans le corps du texte
Atelier d’improvisation dirigé par
Jean-Claude Cotillard
Vendredi 2 juillet
à 20h30
Samedi 3 juillet
à 20h30
Atelier Nathalie Sarraute – Théâtre
Atelier dirigé par Jean-Damien Barbin
5 juillet à 17h Atelier
en extérieur
Contes de nos origines
Atelier animé par Damien Orso
6 juillet – 20h30
7 juillet – 20h30
Théâtre Les Muses orphelines
de Michel Marc Bouchard
Mise en scène Shelly de Vito
Cie Sousouli
8 juillet -21h Concert
en plein air

Gratuit

Aeolus Brass Band
Direction Bastien Stil

9 juillet – 20h30
10 juillet – 20h30
Théâtre

La Falsification
de Yves-Marie Maurin de Kerguelen
Mise en scène Yves-Marie Maurin – Cies du Bélier Sphinx
et Tout-allant-vers

11 juillet – 15h30 Théâtre sur tréteaux
en plein air

gratuit
La Savetière prodigieuse
de Federico Garcia Lorca
Mise en scène Stéphanie Tesson – Phénomène et cie

13 juillet – 20h30
14 juillet – 20h30

 

Spectacle musical Follement gai
De André de Baecque
Mise en scène Valérie Castel Jordy – cie de l’Explique Songe
15 juillet – 21h Théâtre sur échasses
en plein air

gratuit
Il était 3 fois…
Mise en scène Pierre Pirol
Cie Turbul
16 juillet – 20h30
17 juillet – 20h30
Contes Le Théâtre ambulant Chopalovitch
Mise en scène Roch-Antoine Albaladejo
cie Le Rugissement de la libellule

18 juillet – 15h30

Théâtre gestuel
en plein air

gratuit
Un Problème
autour de William Shakespeare
Mise en scène Emmanuel Cornubet– Cie Somatic Tintamarre

 

Salomé

De Oscar Wilde
Mise en scène Jérémie Le Louët – La Compagnie des Dramaticules
Durée 1h20

Salomé, épisode biblique déchiqueté, dans notre langue, par Oscar Wilde. La poésie la plus baroque de la langue française, traversée par la Compagnie des Dramaticules; déroutant et cauchemardesque; du grotesque au sublime. L’occasion pour chacun d’un questionnement sur la condition humaine.Créée en octobre 2002 à l’initiative de Noémie Guedj et Jérémie Le Louët, la Compagnie des Dramaticules présente en février 2003 Macbett de Ionesco puis la « scandaleuse Salomé » d’Oscar Wilde en novembre de la même année. Deux mythes, deux auteurs étrangers écrivant dans notre langue. Nous ressentons une grande affinité pour ces écritures, dont les sonorités font vibrer étrangement le français, et qui se transforment en une musique troublante et souvent dissonante.
A quoi sert la poésie aujourd’hui ? Comment se positionne l’artiste face à la création ? Où est son engagement ? Comment gère-t-il ses désirs et ses frustrations ? Salomé est le lieu de ce questionnement. Le projet est né en réaction à la fonction qu’occupe l’artiste aujourd’hui, de plus en plus utilisé comme un émetteur de codes sociaux identifiables par tous. Le sentiment est trop souvent véhiculé d’une manière démagogique, psychologique et stéréotypée.
En brouillant les codes, les usages et les références, nous guidons le spectateur vers une écoute particulière, vers une réflexion sur la condition humaine, à travers la condition de l’artiste.

Avec Julien Buchy, Guillaume Burzstyn, Anthony Courret, Noémie Guedj, Jérémie Le Louët, Mélanie Menu et Laurent Papot.

Costumes Laurence Lignères

La Compagnie des Dramaticules



BEATBOX

Polyphony Urbaine – (Human Beat Box )
Mise en scène Eric Checco
Durée 1h20

Tel un DJ sur ses platines le beatboxeur reproduit des sons, des scratchs, des mélodies avec sa bouche. Il crée un univers sonore et rythmique à nul autre comparable. Au travers de morceaux musicaux variés : reggae, ragga, rap, jazz, électro, oriental, salsa, zouk… la mise en scène s’attache à ouvrir le champ artistique au-delà des frontières du hip hop.
En 1998, les deux Human Beatbox du Couloir des Anges, comme des travailleurs sur leurs marteaux piqueurs, assurent les transitions d’une société fragile et démontable symbolisée par un échafaudage.
En 2001, leur rôle dans Les Oranges évolue vers un travail d’acteur lié aux autres jeux scéniques ; ils sont des sortes d’annonciateurs à l’image des chœurs antiques.
Le BEATBOX est pour moi la sève qui pousse vers le haut toutes les branches sorties du bitume. Sans elle pas de puissance, pas de souffle, pas de source. Le rythme est là comme une pulsation cardiaque, comme une respiration, comme une marche vive et scandée. Par des soupirs inexprimables, le Human Beatbox, sans rien dire d’intelligible, fait tout comprendre à celui qui sait écouter. C’est la voix qui crie dans le désert… urbain.
BEATBOX Polyphony Urbaine, le spectacle, est une allégorie de la fin des temps : ils sont les porte-paroles et les sentinelles d’une société humaine : fascinante et décevante, grandiose et esthétique, déchirante et inégale.
Une succession de tableaux mêle tour à tour la joie de vivre, dans les thèmes Funky, Salsa et Zouk, la prière dans l’Hymne Urbain, ou encore la dénonciation d’une société hautement technologique méprisant le bon sens et l’humanité toute entière dans Metropolis de Fritzlang. Enfin, le spectacle s’achemine sur les chœurs du Dies Irae de Mozart, ce jour de colère apocalyptique, comme une éruption volcanique.
Chaque Beatboxer porte une force d’interprétation singulière, les quatre réunis en polyphonie heurtent dans une harmonie brute et sensible.

Sur une idée originale d’Amar D
Avec Baki, Braz, Micspawn et Ray J

Théâtre du voile déchiré



Le Médecin malgré lui

Commedia dell’arte
De Molière
Mise en scène/musiques Nicolas Ducron
Durée 1h30

S’il se croit habile homme, Sganarelle n’en bat pas moins Martine, sa femme. Pour se venger de lui, la villageoise embobine deux domestiques du vieux Géronte. Elle fait passer son époux pour un fameux médecin, avec cette particularité qu’il n’admet jamais de l’être avant qu’il soit battu. Les deux nigauds, crédules, enjoignent Sganarelle de venir soigner la fille de leur maître, subitement devenue muette. Sganarelle refuse, puis, sous une pluie de coups de bâton, se proclame finalement médecin et se rend chez le père soigner la malade…
La pièce ne demande pas de traitement réaliste, ou de tentative de reconstitution historique. Les comportements sont extrêmes, les situations énormes, grotesques, il faut fuir tout réalisme.
Le but est de faire exister ce grand monde extravagant du Médecin malgré lui : figures incroyables, maris couards, femmes battues, mafieux, benêts, servantes engageantes, démarches chaloupées, gros fessiers, amoureux transis, grandes tiges, et autres paysans miséreux, voisins révoltés…
La prose de Molière est vive, ciselée, elle nous ouvre un champ gigantesque de drôlerie, de tendresse ou de brutalité, aussi nous laisserons-nous guider par le texte, et les découvertes sur le plateau, comme des enfants, à la recherche de nos codes, de notre théâtralité.
A l’époque de Molière, on changeait les bougies entre les actes de la pièce, aujourd’hui nous écrirons des textes, que nous mettrons en musique et qui feront le lien entre les actes. La musique, omniprésente tout au long du spectacle, viendra rythmer les gestes et les situations. Le travail de composition se fera en amont des répétitions. Il se poursuivra sur le plateau, en harmonie avec les rythmes des comédiens, qui pourront à leur tour devenir musiciens, en fonction de leur présence sur scène et de leur pratique musicale.
Le mot d’ordre sera la vitalité. Aucun obstacle, aucune idée ne devra nuire au rythme du spectacle. Il ne s’agit pas d’une abolition du silence, lui aussi aura sa place dans l’action, ni simplement d’aller vite, mais d’une disposition de l’esprit et du corps des comédiens ; le fondement du jeu sera l’énergie.

Avec Bruno Paviot, Céline Dupuis, Alexandre Carrière, François Godart, Stéphanie Papanian, Thomas Poulard, Adeline Fleur Baude, Henri Botte
Musiciens Christophe Dorémus et Nicolas Ducron
Costumes/masques Martha Roméro, Lumière Paul Beaureilles, Construction décor Stéphane Moison

Coproduction Cie de l’hyperbole à trois poils / Ville de Boulogne-sur-mer / Ville de Grande-Synthe / Droit de Cité / Centre Culturel Gérard Philipe de Calais / Théâtre du Rollmops

Compagnie de l’hyperbole à trois poils



Être et ne pas être

Variations libres autour de Hamlet
De William Shakespeare – Mise en scène Orazio Massaro
Durée 1h11

Dans ce spectacle, l’acteur est un homme qui joue sa vie, en ayant comme support le rêve emblématique de la tragédie d’Hamlet, pour parler de l’absence du père, de la relation fusionnelle avec la mère, du rapport à la femme, et pour finir de la difficulté de choisir : être et ne pas être. L’acteur est sur scène avec deux projections de lui-même : un jeune homme et une jeune femme qui représentent sa dualité intérieure et qui incarnent sa conscience.
Il me semble important de poser la question de l’être aujourd’hui, alors que le paraître est devenu la seule garantie de survie dans un contexte social davantage enclin à nous faire oublier qui nous sommes réellement, plutôt qu’à nous aider à nous confronter à nous-mêmes. Je profite également de l’occasion de ce spectacle pour rendre hommage à l’immortalité de Shakespeare qui, à travers sa quête de vérité, participe inlassablement au renouveau du théâtre.

Né en Italie, Orazio Massaro vit en France depuis quinze ans. Il suit des cours de danse contemporaine avec Carolyn Carlson, Peter Goss, Hans Zullig, Pina Bausch, et danse pendant trois ans pour la Compagnie Dominique Bagouet au Centre Chorégraphique National du Languedoc-Roussillon. Il s’initie au théâtre par la méthode Grotowski, avec Ludvic Flaszen, et suit des cours du Conservatoire de Paris, en auditeur libre, avec Philippe Adrien. Il suit également les cours de l’Actors Studio avec Jack Waltzer. Après s’être confronté à la chorégraphie avec le solo autobiographique Orazio qui explore la limite entre la danse et le théâtre, il crée le spectacle Volare pour l’Opéra de Montpellier, où six danseurs privés de chorégraphie sont confrontés à un texte sur le mouvement et la danse. Il travaille en tant qu’acteur au cinéma avec Patrice Chéreau, Antoine De Caunes, Sally Potter, Hervé Le Roux, et au théâtre avec Félix Rückert, Olivier Besson, Françoise Château. Il se confronte à la mise en scène en répondant à des commandes : Une petite entaille de Xavier Durringer, Emballage perdu de Véra Feyder, Le pois chiche de Maïwenn, Salve Regina de Virgil Tanase. Il écrit et réalise un moyen métrage Faim D’aimer récompensé à Clermont Ferrand et à Pantin. Il est actuellement en préparation de son premier long métrage, parrainé par Catherine Breillat. Etre et ne pas être est le fruit d’une longue maturation et la première production du Nouveau Théâtre, sorte de laboratoire du mouvement parlé, crée cette année par Orazio Massaro avec l’intention de faire du théâtre un lieu de recherche permanente qui vise la production de spectacles englobant les multiples expériences qui ont sillonné son parcours d’artiste.

Avec Patrice Gallet, Carine Yvart et Orazio Massaro
Création lumière Stéphane Faivre Darcier

Nouveau théâtre



Carte Blanche à l’ESAD de la Ville de Paris

Carte Blanche à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de la Ville de Paris

Carte Blanche à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de la Ville de Paris
(Maison des conservatoires)
Le Théâtre 13 accueille pour la cinquième année les travaux de l’École Supérieure d’Art Dramatique de la Ville de Paris.
L’enseignement reste l’outil privilégié de la créativité, de la recherche et du bouillonnement artistique.
Les présentations au Théâtre 13 sont l’occasion de découvrir et d’accompagner de jeunes comédiens au moment où ils achèvent leur formation.
Les jeunes comédiens ont travaillé en ateliers sur les auteurs et les thèmes suivants, sous la direction de metteurs en scène.
Ces présentations sont le résultat de ces travaux
Toutes les pièces sont interprétées par les élèves de l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de la Ville de Paris



 
Lundi 28 juin à 20h30 – Mardi 29 juin à 20h30

Tchekov : Le Départ
Atelier dirigé par Anne-Marie Lazarini

 

Mercredi 30 juin à 20h30
La Mort au Théâtre
Atelier dirigé par Sophie Loucachevsky
Jeudi 1er juillet à 19h00 Jeudi 1er juillet à 21h

Jeudi 1er juillet à 19h00
Le malheur :
ses douleurs et ses plaisirs
Atelier d’improvisation dirigé par
Jean-Claude Cotillard

 

Dans le corps
du texte
Atelier d’improvisation dirigé par
Jean-Claude Cotillard
Vendredi 2 juillet 20h30 – Samedi 3 juillet 20h30

Nathalie Sarraute – Théâtre
Atelier dirigé par Jean-Damien Barbin

 

Dimanche 4 juillet 15h30 en extérieur
Contes de nos origines
Atelier animé par Damien Orso

 

Les Muses orphelines

De Michel Marc Bouchard
Mise en scène Shelly de Vito
Durée 1h20

Catherine, Martine, Luc et Isabelle sont frères et soeurs. Rien ne les distingue d’une autre famille, à ce détail près qu’ils ont été abandonnés par leur mère vingt ans plus tôt.
Si Catherine et Isabelle sont toujours restées dans la maison familiale, Martine et Luc ont fait le choix, chacun à sa manière, de fuir ce passé trop lourd à porter.
On assiste alors à leurs retrouvailles. C’est avec une franche humanité, un humour parfois grinçant et une grande dose d’amour que ces personnages nous dévoilent peu à peu leurs âmes.

La compagnie SOUSOULI a vu le jour en juillet 2002, grâce aux Muses orphelines. Trois des comédiens, amis et partenaires de longue date tombent littéralement amoureux de la pièce de Michel Marc Bouchard.
L’envie de se retrouver une fois de plus sur scène et la force que dégage cette pièce, les a poussés à créer cette compagnie pour mener à bien leur projet. C’est avec détermination qu’ils ont entrepris de monter ce spectacle. Restait à pourvoir le quatrième rôle et à dénicher le metteur en scène qui saurait capter toute la beauté du texte. Quelques semaines plus tard, le projet commençait à voir le jour avec une énergie partagée et le même désir du travail bien fait. Le maître mot de cette folle aventure est l’envie. L’envie de partager avec les autres, cette belle découverte. Le spectacle n’aurait jamais existé sans la générosité des comédiens et du metteur en scène, qui chaque jour, emploient toute leur énergie à faire vivre ce projet.

Avec Elodie Saos, Marie-Do Ferré, Laetitia Tomassi et Arnaud Allain

Adaptateur Noëlle Renaude, Musique Vincent Bort, création lumière et régie Philippe Dupont

Agent théâtral du texte Editions Théâtrales
En partenariat avec le Centre Culturel Canadien et l ‘Association Beaumarchais

Compagnie Sousouli



Aeolus Brass Band

Direction Bastien Stil
Durée 2h

Trente musiciens, trompettistes, trombonistes, tubistes, titulaires des grands orchestres français et lauréats de concours internationaux, ont décidé de partager avec le public leur passion pour la musique de cuivres.
Les musiciens d’Æolus se lancent dans une formidable aventure : faire découvrir au public français la musique de brass-band, répertoire actuellement peu connu dans l’hexagone, mais ovationné chez tous nos voisins européens.
Un brass-band, c’est à la fois la richesse des timbres, la chaleur des sonorités, la finesse des nuances, la majesté du son… et la beauté des instruments eux-même.
Né au XIXème siècle en Angleterre, le brass-band (littéralement : orchestre de cuivres) est un orchestre à la fois rigoureux par son travail musical et populaire par la variété de son répertoire.
Il interprète avec la même rigueur musicale des transcriptions de grandes pièces symphoniques ou d’opéras, de la musique contemporaine, du jazz ou des musiques de films. Æolus entend s’inscrire dans cette magnifique tradition populaire et de qualité, tout en ajoutant aux œuvres anglo-saxonnes des pièces originales, afin de créer un répertoire français de brass-band.

Avec Cornet mi b, Emmanuelle Proux, Cornet solo principal Clément Saunier, Cornets solos Olivier Voisin, Ludovic Podevin, Raphaël Gouthière, Cornet repiano Anthony Chevillon, Seconds cornets Christophe Souleillet, Jean-Philippe Benesse, Troisièmes cornets Emmanuel Allemany, Christophe Grivault, Bugle Charly Villoteau, Alto solo Arnaud Laporte, Premier alto Hervé Michelet, Second alto James Roger, Baryton Nicolas Goullet, Nicolas Devois, Euphonium Patrick Coutey, Sébastien Stein, Trombone solo Romain Simon, Cyril Lelimousin, Trombone basse Jonathan Leroy, Tuba mi b André Gilbert, Juan Da Silva, Contrebasse si b Jérémie Dufort, Sylvain Dutouquet, Olivier Galment, Percussions David Outier



La Falsification

De Yves-Marie Maurin de Kerguelen
Mise en scène Yves-Marie Maurin
Durée 1h40

Entre 1917 et 1939, soutenu par son meilleur ami, un rescapé de la Grande Guerre s’efforce de ressusciter son passé illuminé par le souvenir de la féerique énigme d’une infirmière, un ange blanc de la der des ders. Mais une ombre se dresse entre eux, l’ombre de l’Histoire falsifiée par le filtre d’une mémoire amputée !
Une histoire d’amour entre deux hommes abîmés par la guerre autour d’une madame ressuscitée.

Avec Emilie Wiest, Sébastien Boju, Juliette Marcelat, Swann Wild, Frédéric Attard et Yves Marie-Maurin

Assistante à la mise en scène Christine Courty

Avec le soutien de Bertand Dosne (création d’image), La société Hot-Line, Aline Bernard (enregistrements),
Dominique Nocereau (CNSAD). Amical remerciement à Hervé Masquelier.

Compagnie du Bélier Sphinx et Compagnie Tout-allant-vers



La Savetière prodigieuse

Théâtre sur trétaux
De Federico Garcia Lorca
Mise en scène Stéphanie Tesson
Durée 1h25 – sans rappels

Ma Savetière, c’est la lutte perpétuelle sur fond de drame entre la merveille de ce que nous imaginons et la vulgarité de ce qui est écrit Lorca.
Une farce poétique à laquelle musique et danse se mêlent pour en révéler le charme familier
Une jeune fille a épousé un vieux Savetier à qui elle mène une existence infernale, lui faisant payer le prix de sa fraîcheur et de sa beauté. Témoin-voyeur de cette situation turbulente, tout le village arbitre le conflit et tente d’en tirer profit. Seul complice de la Savetière, un enfant calme les orages qu’elle déchaîne et subit. Fatigué des caprices de sa femme, le Savetier s’enfuit… Les illusions candides de la jolie héroïne résisteront-t-elles à l’épreuve de cette absence ?
Créée en 1996 par Stéphanie Tesson, Phénomène et Compagnie commence son existence avec des spectacles pour enfants : Cœur de Laitue et Madame Faribole écrits et mis en scène par S. Tesson. Puis dans la veine d’un théâtre de divertissement fondé sur une double exigence de poésie et d’humour, c’est La Paix ! d’après Aristophane qui est montée en 2002 à la Filature, Scène nationale de Mulhouse et au Théâtre 13. De plus petites formes (Au bal d’Obaldia, Histoire d’un merle blanc de Musset et prochainement Tout à vous… d’après la correspondance amoureuse de George Sand témoigne d’un attrait constant pour les textes “ classiques ”. Mais les contemporains ne sont pas ignorés avec les Fantaisies Potagères et Microcosmiques conçues à partir de vingt textes commandés à des auteurs vivants et inaugurées au Potager du Roi à Versailles en Juin 2003 et 2004, qui se promèneront dans les jardins de France en 2004/2005.
La Savetière prodigieuse de Lorca a été créée en Juin 2003 au Festival du Mois Molière à Versailles et repris pour la Foire St Germain à Paris (VIème).

Avec Julie Delarme, Bernard Douby, Florence Cabaret, Céline Larrigaldie, Sarah Pascual, Bruno Paviot, Christophe Ravoux , Pablo Penamaria et Vincent Brulin

Traduction André Belamich, Musique Frédéric Ozanne, Chorégraphies Juliette Piedevache, Décor Bony, Accessoires Amélie Tribout, Costumes Corinne Page, Maquillage Dorota Okullicz

Phénomène et compagnie



Follement gai

Spectacle musical
De André de Baecque
Mise en scène Valérie Castel Jordy

Un ange vient déranger les routines d’un trio de comédiens saltimbanques… Ludiques et corrosifs, ils tissent leurs histoires de fête et d’insurrection au son de l’accordéon. Ces voyageurs en effervescence portent le rire édenté du poète comme un trésor avant d’être un palais bâti sur des prothèses.
Trente années d’écriture, un recueil poétique, 25 textes choisis, 10 chansons, 1h15 de fête au son de l’accordéon.
Ce qui m’a le plus bouleversé – c’est que ces jeunes artistes sont entrés dans ces textes comme s’il s’agissait de leur appartement. Les mots, les sentiments, les histoires proposées, chantés, projetés leur conviennent. Quelle alchimie ! A. de Baecque
Ludique et corrosif, un quatuor de comédiens saltimbanques plonge dans l’univers du poète comme on jette une bouteille à la mer.
Les poèmes s’entrechoquent, les images surgissent, les histoires et les cris d’insurrection naissent et font leur chemin. Mathurin picore le nez de la belle Antigone vêtue de rouge tandis que Smiley au sourire lunaire voit son ange passer et venir déranger les routines …
La compagnie de l’Explique-Songe a comme objectif la défense des écritures contemporaines, théâtrales et poétiques. Elle s’engage dans un théâtre de résistance où peuvent se mêler différentes disciplines artistiques et cherche à interagir avec la cité dans laquelle elle s’inscrit.

Avec Mathieu Boccaren, Emilie Cazenave, Sidney Mehelleb et Esther Van den Driessche

Assistant mise en scène David Fischer, Création musicale Mathieu Boccaren, Décor Charlotte Jubelin, Lumière Sylvain Bresson, Création des costumes Angélique Calfati et Charlotte Jubelin

compagnie de l’Explique Songe



Il était 3 fois…

Théâtre sur échasses
Mise en scène Pierre Pirol

Un conte à rebours sur échasses.
Il était une fois une reine des neiges, complètement à sec … qui en perdait ses pouvoirs.
Il était deux fois Marys Queen Meust, La méchante suivante au parfum de nénuphar, rodant dans l’ombre de la reine et prête à tout pour obtenir le trône.
Il était trois fois : des sorciers aux pouvoirs de feux et d’eau.
Le Tout sera relié par Juluis Cornélius Phébus, qui dort beaucoup et raconte très bien les histoires quand il n’a pas trop busse.
IL ETAIT TROIS FOIS est un spectacle visuel sur échasses, accompagné par des percussions et de la guitare électrique.
Résolument moderne ce spectacle est un pastiche des différents contes, où se mêlent la danse, le chant, le jonglage, les rires, sans oublier la poésie.
La Compagnie Turbul fondée par Ariane Fiess et Frédéric Lefèvre présente, depuis 1996, ses parades et spectacles oniriques alliant comédie et jeux d’équilibre. Un arbre marche parmi la foule ! Une vingtaine de personnages extraordinaires habillent chacune des représentations, dont un Nénuphar, des Sorciers Hopis, une Libellule, une Mante Religieuse…
Composée d’une quinzaine d’artistes, auteurs, comédiens, musiciens, décorateurs, etc. La Compagnie a réalisé plus de quatre cents prestations en fixe et en déambulatoire, Festivals de Chalon sur Saône, de Malakoff, du Mans, de Charleville Mézières, de Hayange, de Fort de France, d’Hydra (Grèce)… Théâtre de Berthelot (Montreuil), Théâtre Dejazet (Paris) etc.

Avec Pierre Pirol, Frédéric Lefèvre, Ariane Fiess, Stéphane Thomas et Jean-Yves Armand

Compagnie Turbul



Le Théâtre ambulant Chopalovitch

Conte
Mise en scène Roch-Antoine Albaladejo

En 1942 à Oudjitsé, ville Serbe occupée par le régime Nazi alors que la résistance bat son plein, que les arrestations et les exécutions sommaires s’intensifient, une troupe de théâtre ambulant présente sur la place publique un morceau de la pièce qu’il interprèteront dans les prochains jours : les Brigands de Schiller auteur Allemand.
Deux mondes alors s’entrechoquent : la réalité de l’occupation, sa violence et les utopies d’une poignée d’acteurs qui essaient de continuer à exercer leur métier…
Le théâtre ambulant Chopalovitch est une pièce rare. Une pièce sur l’occupation et ses conséquences. Elle pourrait se dérouler dans n’importe quel coin du monde où la barbarie sévit.
Quels hommes serons-nous face à la barbarie. Serons-nous celui qui résiste au prix de sa vie, celui qui se résigne par peur à accepter l’inacceptable, celui qui, corrompu, collaborera…
Le Rugissement de la libellule
Tous issus de l’école d’art dramatique les ateliers du Sudden dirigé par Raymond Acquaviva, nous avons des parcours artistiques très divers. Certains d’entre nous ont fait leurs premiers pas sur la scène du Quasar Théâtre de Nanterre dirigé par Patrick Schmitt. C’est donc à Nanterre que nous avons décidé de fonder notre compagnie. Nous avons poussé nos premiers rugissements avec le Misanthrope de Molière en 2003.

Avec Estelle Kitzis, Nicolas Kaczorowski, Lorène Ehrmann, Johanna Boyé, Jessica Beudaert, Franck Jodet, Jean-François Sys, Pierre Simon, Laurent Labruyère, Nina Tivelli, Héloïse Levain et Léonard Matton

Auteur / adaptateur Lioubomir Simovitch, traduit du Serbo-croate par Borka Legras et Anne Renoue, Assistanat Clémence Carayol, Régie Momo, Scénographie et Lumières Roch-Antoine Albaladéjo, Maquillages Angélique Borniche, Costumes et Accessoires Estelle et Angélique
Expo Estelle (photos), Angélique (dessins) et Anaïs (textes)

 



Un Problème

Théâtre gestuel
Autour de La Nuit des Rois de William Shakespeare
Ecriture, adaptation et mise en scène collective – Compagnie Somatic Tintamarre

Il existe un monde parallèle. Celui des clowns. Un monde pas si éloigné du nôtre, où certains se prennent des envies de gloire et de monter sur les planches, il ne suffit que d’un plombier ambitieux s’improvisant producteur, une caissière se sentant des âmes de nourrice, une petite vieille pleine de bonne volonté, quelques autres caractères bien trempés et le spectacle peut commencer.
C’est ce dont ils sont convaincus ; du moins Robert, Kylie, Mrs Ericsson, Mark et les autres pensent qu’une mission les unit : le Théâtre.
Ils décident donc, sous l’impulsion de Robert qui les a réunis après un casting des plus délicat, de représenter La Nuit des rois de Shakespeare.
Les rôles sont distribués (plus ou moins), les textes appris (ce serait étonnant), les costumes cousus (comme ils peuvent), les décors réalisés (avec de nouvelles techniques), la mise en scène effectuée (mais pas terminée) et après des mois de répétitions (plutôt quelques jours), vous allez assister à la première de leur spectacle. Enfin espérons-le !

Avec Chiara Collet, Luis Villegas, Henrik Schmidt, Emmanuel Cornubet, Kajsa Englund, Alison Windsor et Marion Durand

Compagnie Somatic Tintamarre



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