T13 / Bibliothèque
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Conteurs au 13

Du 10 au 11 octobre 2018
T13 / Bibliothèque
Dès 12 ans 1h45

La Maison du Conte et le Théâtre 13 imaginent deux soirées insolites avec des artistes de haut-vol : conte, cirque, jazz, conférence scientifique…

A chaque saison, son Conteurs au 13
Dans cette nouvelle édition, La Maison du Conte et le Théâtre 13 imaginent deux soirées insolites avec des artistes de haut-vol. Tous ont un talent pour inventer des histoires, tout en empruntant un chemin résolument contemporain à la croisée des genres. Conte, cirque, jazz, conférence scientifique… Circulez, il y a tout à entendre !

Au programme : deux performances conte et cirque (Tandems) et deux spectacles aux frontières du réel, un soir avec Rachid Bouali (Sans laisser de traces), l’autre avec Marien Tillet (Paradoxal).

Chaque soirée débute à 20h et inclut une première partie de 20 minutes (à choisir parmi les deux performances Tandems) et un spectacle de 1h15

Conteurs au 13 est une collaboration entre La Maison du Conte de Chevilly-la-rue, la Cie La Langue Pendue, la Cie Le cri de l’armoire, l’Académie Fratellini et le Théâtre du Phare.

Tandems : en première partie les 10 et 11 octobre à 20h


Tandems
Deux performances de 20 minutes (au choix) réunissant des conteurs (Julien Tauber, Amandine Orban) et des circassiens (Ambroise Donnier, Francisco Rosa, Mélodie Morin, Matéo Thiollier-Serrano).

Deux formes courtes, sensibles et drôlatiques, mises en scène par Olivier Letellier et crées en partenariat avec l’Académie Fratellini et le Théâtre du Phare.

Coproduction La Maison du Conte (Chevilly-Larue), L’Académie Fratellini-Centre de Formation Supérieure aux Arts du Cirque, le Théâtre du Phare-Olivier Letellier. Remerciements au Théâtre National de Chaillot et aux CDN Les Tréteaux de France.
 



Sans laisser de traces : en deuxième partie le 10 octobre 2018


Sans laisser de traces
Rachid Bouali / Manu Domergue (1h15)

Rachid Bouali présente, en compagnie du musicien de jazz Manu Domergue, un voyage aux côtés des gens en péril et en exil. Un spectacle-puzzle qui replace sur l’échelle du temps les histoires microscopiques des uns et des autres.

« Si tu veux passer, il faut d’abord survivre.
Et si tu veux survivre, il faut savoir courir.
Savoir parcourir rapidement,
savoir franchir,
savoir construire une échelle,
savoir où dissimuler l’échelle,
où se dissimuler soi-même.
C’est ton lot, on te traque et te pourchasse comme du gibier.
Partout où tu passes, tu ne laisses aucune trace.
Partout sur la terre, tu erres comme un spectre, un fantôme. »
 
Une épopée de gens en péril, n’ayant comme drapeau que les habits qu’ils portent sur le dos et comme hymne leur souffle. Sans passeport ni visa, Rachid Bouali et Manu Domergue vous embarquent d’une histoire à une autre. Toutes parlent de frontières, de murs et d’exil forcé mais aussi et surtout d’humanité.

Ce spectacle balaie murs, frontières et territoires. Et interpelle sans détour notre propre humanité. La Vie

Production Cie La Langue Pendue – Coproduction La Maison du Conte et le Théâtre André Malraux (Chevilly Larue), Le Prato (Lille), Le Théâtre de l’Aventure (Hem) – Soutiens DRAC Hauts de France et Région Hauts de France.



Paradoxal : en deuxième partie le jeudi 11 octobre 2018

Paradoxal
Marien Tillet (1h15)

Un thriller scientifique et fantastique, pour plonger dans la cinquième dimension du sommeil.

Résumé

Un rêveur lucide est conscient de rêver. Il peut même orienter ses rêves.
Une jeune journaliste se découvre cette aptitude. Pourtant elle ne peut aller au bout d’un rêve car à chaque point culminant elle se fait réveiller par la locataire du dessus qui fait les cent pas à 3 heures du matin.
Quand sa voisine disparaît, les rêves disparaissent aussi. Les insomnies s’installent et s’allongent nuit après nuit.
Épuisée et en manque de son activité onirique, la jeune femme rentre dans un programme scientifique d’étude des rêves.

L’expérience dérape.



Marien Tillet explore la zone fragile entre rêve et réalité. Imaginons que cette frontière sibylline soit en fait un vaste territoire. Le doute est permis.

Note d’intention



« Il y a autant de personnalité chez un dormeur que chez un éveillé : la position, l’activité, les rituels d’endormissement, etc.
Le sommeil pose autant la question de l’endormissement que de l’impossibilité de s’endormir. Ces agitations dont nous faisons preuve de temps à autre, ces phases d’insomnies dans lesquelles nous ne savons même plus si nous avons dormi une seconde, une heure… ces espaces où la réalité et le songe s’interpénètrent.
Et puis le rêve…
Ce qui m’intrigue, autant que ce qui me passionne dans le rêve, c’est la capacité que notre cerveau a de nous faire croire en une réalité ponctuelle. Dans mes précédents spectacles, il a toujours été question de cette réalité : qui en est juge ? Qui peut dire qu’une chose est vraie plus qu’une autre ?
La réalité se définit toujours par ce que la majorité décide d’avaliser.
« Ça existe » ou « Ça n’existe pas » est décidé naturellement par un référendum tacite.
Individuellement, quand nous doutons, nous nous tournons vers l’avis des autres.
Dans notre rêve nous pouvons faire la même chose : nous pouvons nous adresser aux personnages de notre rêve pour leur demander ce qui est vrai ou non.
Partant de là et pour poursuivre l’expérience tentée dans Après ce sera toi, j’aimerais poser la question de cette réalité que nous pensons partager sur la scène d’un théâtre :
Sommes-nous là ?
Tout était-il écrit ?
Pour résumer : qui est en train de rêver ce qui est en train de se passer ? Le conte comme espace de liberté pour une personne sur scène me semble être l’outil idéal pour jouer avec ces codes vertigineux. »

Marien Tillet

Revue de presse

Marien Tillet imprime un rythme ébouriffant à sa narration. La frontière entre rêve et réalité se cabre, se tord et finalement se dérobe. Plusdeoff.com
Une scénographie sombre, aux sons amplifiés judicieusement mesurés nous entraîne dans un thriller captivant. Quelle est la limite entre le rêve et la réalité ? Ce spectacle nous démontre que la limite est poreuse. L’histoire de Maryline devient rapidement terrifiante. La provence.com
(…) inventivité remarquable du scénario imaginé par le conteur autour du thème du sommeil, qui tient en haleine du début à la fin et ne nous laisse pas une seule minute de répit. Le Monde.fr

Production Cie Le cri de l’armoire – Coproduction La Maison du Conte et le Théâtre André Malraux (Chevilly Larue), le Théâtre du Cormier (Cormeilles-en-Parisis), l’Espace Sarah Bernhardt (Goussainville), le Service Culturel de Gonesse – Soutiens L’Espace Germinal (Fosses), le service culturel de Villiers-le-Bel, le Théâtre Le Hublot (Colombes), le Festival Rumeurs Urbaines. La Cie Le Cri de l’Armoire reçoit l’aide à la production dramatique de la DRAC Île de France, l’aide aux projets du Conseil Départemental du Val d’Oise et le soutien à la création du Conseil Départemental du Val de Marne.

 

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