La dame de chez maxim
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière
T13 / Glacière

La dame de chez maxim

Georges Feydeau
Johanna Boyé
Du 5 septembre au 15 octobre 2017
T13 / Glacière
Dès 7 ans 1h35

Sous-couverts d’une série de quiproquos menant à des situations invraisemblables, Feydeau dresse un portrait férocement drôle des bourgeois et de la bêtise humaine. Avec cette adaptation moderne aux accents rock et burlesques, Johanna Boyé signe une mise en scène contemporaine, dans laquelle les tableaux musicaux et chorégraphiés alterneront avec les scènes de comédie.

La Dame de chez Maxim est la pièce la plus longue et la plus importante de Feydeau avec une galerie de vingt-sept personnages. La grande réussite de la pièce tient dans la variété des portraits dressés par Feydeau mais aussi dans une écriture redoutablement efficace. Cette pièce chorale résonne encore aujourd’hui car elle propose un tableau des mœurs et des préoccupations qui agitent une bourgeoisie très soucieuse des apparences et du confort, mais prête à tout pour s’offrir du plaisir. La Dame de chez Maxim s’amuse également des clichés et du clivage existant entre Paris et la Province. Johanna Boyé et Paméla Ravassard ont adapté cette farce pour seulement sept comédiens et un musicien, qui dans un ballet burlesque interprèteront tous les personnages.

Générique

Texte Georges Feydeau
Adaptation Johanna Boyé & Pamela Ravassard
Mise en scène Johanna Boyé

avec Vanessa Cailhol, Florian Choquart, Arnaud Dupont, Lauri Lupi, Garlan le Martelot, Pamela Ravassard, Vincent Viotti et le musicien Mehdi Bourayou

Création musicale Mehdi Bourayou, Scénographie Jeanne Boujenah, Création lumière Cyril Manetta, Costumière Virginie H. Cascade burlesque Thomas Garcia, Chorégraphies Joan Nus

Coproduction la Compagnie Les Sans Chapiteau Fixe et Atelier Théâtre Actuel. Avec le soutien de l’Adami, de la Spedidam, du Théâtre D. Cardwell de Draveil, du Théâtre de l’Athénée de Rueil-Malmaison, de la Ville de Cerny, du Théâtre Paris-Villette, de la MTD d’Epinay-sur-Seine, du réseau Actif, du Jeune Théâtre National et du Théâtre 13 / Paris

 





Note d’intention

La Dame de chez Maxim interpelle par son actualité, car Feydeau s’y amuse des clivages qui existent au cœur de notre société.
L’originalité de la proposition repose sur une adaptation pour seulement 7 comédiens et 1 musicien, qui, dans un ballet chorégraphié, interprètent tous les personnages. Cette pièce chorale résonne d’autant plus aujourd’hui qu’elle nous permet de dresser une galerie de personnages, véritable paysage sociologique des archétypes contemporains, et de questionner les fondements de notre société.

Les acteurs constituent l’atome, le centre du travail et le collectif l’essence de sa pulsation. Toute leur virtuosité technique et toute leur inventivité sont ici mises au service de l’absurde, et du burlesque des situations qui contraint les personnages dans une dramaturgie au bord du déséquilibre.

L’univers sonore, omniprésent, est teinté d’influences et de références actuelles, aux sonorités modernes, et aux accents rock. Cette ambiance musicale conduit à inventer de grands tableaux visuels et musicaux, véritables instants de respiration de la pièce. Le musicien multi-instrumentiste, compositeur et créateur de la musique originale, insuffle l’énergie et la dynamique globale de la pièce. Et tous les comédiens le soutiennent et l’accompagnent en chantant et jouant d’un instrument.

L’esthétique, basée sur la réinterprétation des codes et l’actualisation d’éléments anciens, caractérise la mise en scène. Elle revisite et décale les éléments forts d’hier, pour donner à voir toute la modernité et l’actualité qui y réside. Une scénographie mobile et vivante construit l’espace au fur et à mesures. La lumière achève de sculpter, d’habiller et d’affiner la proposition scénographique dans la multiplicité d’espaces que propose la pièce, et nous fait basculer entre rêve et réalité.

L’engagement artistique vers un univers visuel fort, et vers la conception d’images et de séquences imaginaires, permet de créer une adaptation originale de l’oeuvre : un spectacle joyeux et insolent, qui, dans sa forme et dans son fond, touche et interroge le spectateur sur ses propres fondements.

Il s’agit dans ce spectacle de chercher et travailler à sonder l’être humain, pour voir, dans son cheminement, le miroir de la société qu’il bâtit.

Johanna Boyé
 



Revue de presse

Feydeau, ça déménage ! Un spectacle pop survitaminé et bouré de trouvailles : clins d’oeil à James Bond, histoires de revenants, scénographie mobile et acteurs multicarte qui incarnent des personnages à la fois hilarants et pathétiques. Le Parisien

Multipliant les trouvailles, Johanna Boyé mène son spectacle à un rythme constamment trépidant. Le jeu survitaminé des interprètes, parmi lesquels Florian Choquart, Vincent Viotti, Arnaud Dupont et Vanessa Cailhol, fait le reste. Cette représentation sans temps morts a tout pour plaire à un public essentiellement jeune que grise la vitesse. JOSHKA SCHIDLOW – Allegro Théâtre

La pièce est d’un comique infaillible et le spectacle de Johanna Boyé le lui rend bien, provoquant l’hilarité à maintes reprises. Feydeau est ici bien servi, Johanna Boyé parvient avec brio à en extraire toute la férocité joueuse et la drôlerie vaudevillesque. On rit, on rit, qu’est-ce qu’on rit ! Pariscope

Extraits de la revue de presse lors de la création à Avignon en juillet 2017 :

Maintenir, une heure trente durant, la mécanique comique propre à Feydeau est une gageure qu’a relevée haut la main la malicieuse Johanna Boyé. S’entourant d’une troupe de comédiens énergique et fort talentueuse, dont la lumineuse Vanessa Cailhol est le joyau, la jeune metteuse en scène réinvente l’art du quiproquo pour notre plus grande joie. Bravo !
Cette Dame de chez Maxim, fraîche acidulée et primesautière, est une friandise savoureuse qui se déguste avec plaisir et gourmandise. Un moment de théâtre hilarant qui détendra vos zygomatiques à n’en pas douter ! Médiapart

Toute la troupe est au diapason de la folie que le roi Georges a instillé dans son oeuvre, et qui s’empare de tous les comédiens. Cette Dame de chez Maxim est centenaire, mais n’a pas pris une ride. On pleure de rire ! La Provence

Feydeau ne se contente pas de mener la galéjade à un train d’enfer, usant de tous les stratagèmes pour que le spectateur se tape sur les cuisses. Il renvoie également (et il ne faut jamais l’oublier) une image terrible de la société de son temps, en l’occurrence de la bourgeoisie méprisante, arrogante et hypocrite.
On ne rentrera pas dans le détail d’une histoire un peu foldingue qui joue sur les quiproquos, les jeux de mots, sur fond de cocufiage (consommé ou non). Disons que la dame en question est une chanteuse du Moulin Rouge projetée dans le monde de ses clients, lesquels aiment l’avoir dans leur lit mais pas dans leur maison. D’où un enchainement de scènes féroces, drolatiques, burlesques, menées au rythme d’un concert de rock. Tout rentre dans l’ordre en fin de spectacle. Reste que la bourgeoisie s’est donnée en spectacle, et que ce n’est pas forcément beau à voir. Marianne

Voilà un petit bijou de Feydeau à croquer tout de go ! C’est merveilleusement bien troussé, voire détroussé, déjanté, un brin déluré, solidement chorégraphié et chanté !
Feydeau et ses portes n’ont qu’à bien se tenir, on les a tout bonnement enlevées, nul risque qu’elles restent coincées. Du reste, le trait ne l’est pas pour deux sous, puisque le metteur en scène Johanna Boyé a convoqué le Cabaret de Madame Arthur et ses drôles de créatures pour habiller le tout. À bien y réfléchir, on ne s’est embarrassé de rien, tout ce qui gênait a été enlevé, resserré. Exit le décor bourgeois, à bas les accessoires d’époque, au placard les costumes chichiteux, ne reste que la belle mécanique, les habiles quiproquos et ça mouille la chemise sur le plateau. Tous les comédiens sont au diapason, mention particulière à Vanessa Cailhol, alias La Môme Crevette, qui revisite avec énergie les attitudes d’une ballerine. Les répliques fusent sur scène tout comme le rire dans le public. Bref, pour reprendre une expression très Feydeau « C’est à se tordre ! ». Vaucluse Matin
 



Extrait vidéo

Rencontre

Rencontre avec l’équipe artistique dimanche 1er octobre 2017 après la représentation

Garde d’enfants

Garde d’enfants contée dimanche 24 septembre 2017 pendant la représentation

Galerie

Skip to content