Blues au 13 – édition 2011
T13 / Glacière
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Blues au 13 – édition 2011

6 soirées - 9 concerts
Du 12 au 17 avril 2011
T13 / Glacière

Du Sahara algérien aux hauts plateaux du Cameroun, des rives du Mississippi aux plaines arides du Texas, des grandes forêts du Canada pour arriver jusqu’à Paris en passant par Nantes, une semaine consacrée au blues et à ses métissages, portée par une nouvelle génération de bluesmen, entre soul, funk, country, folk, musiques du monde et blues traditionnel.

En bref…

Mêlant et tissant tour à tour des rythmes arabo-bèrbères, des chants mystiques traditionnels, des sonorités africaines et des fresques musicales colorées de blues, Gaâda Diwane de Béchar revient au Théâtre 13 pour son diwane lancinant et fascinant.

Ses racines profondes, nourries du delta-blues, combinées à sa sensibilité soul, folk, pop, font de Keith B. Brown une « voix » nouvelle, puissante et originale sur la scène musicale d’aujourd’hui. Il est l’un des interprètes principaux du premier volet de la série de film sur le blues, initié par Martin Scorsese et réalisé par Wim Wenders, « The Soul of a Man ».

Du haut de ses 18 ans, Nina Attal pulvérise les frontières du blues, et assume avec une maturité impressionnante ce mélange entre l’héritage des pères fondateurs du blues et l’influence d’artistes Soul ou Funk.

Roland Tchakounté fait partie de ces musiciens de l’âme qui ont su transcender les dictats et les règles en matière de musique: il est une synthèse réussie du Mississippi blues et des chants profonds d’Afrique, mis en valeur par les sonorités de sa langue maternelle le Bamiléké.

Homme Bleu par la naissance, Bluesman par essence, la musique lumineuse d’Amar Sundy mêle avec harmonie les plus pures influences du Chicago Blues et les rythmes du désert saharien où il a vu le jour.

A mi-chemin entre le rock, le blues, le flamenco et la musique tzigane, Eric McFadden est un guitariste virtuose véritable phénomène, libre, impressionnant de savoir faire et sachant laisser sans mièvrerie aucune, la place à l’émotion.

Eperdu de tradition, du blues au folk, Marc André Léger, guitariste aux instruments multiples, compositeur aux mille talents, plante son blues dans le cœur d’un groove chaloupé et apporte une fraîcheur iodée dans des rythmes emplis d’une atmosphère jouissive.

Malted Milk est l’une des meilleures formations Soul-Blues-Funk françaises. Sur scène, le groupe est une machine à « groover » infernale qui dégage une énergie communicative et spontanée faisant voyager le public au coeur de la «Black music».

Nous clôturons cette semaine avec une invitation à l’Ensemble orchestral de Paris, qui revisitera les standards du blues avec sa formation de musique de chambre.
 

Mardi 12 avril 2011 à 20h30 complet
Gaâda Diwane de Béchar (diwane / Algérie)

Mercredi 13 avril 2011 à 20h30 complet
Keith B. Brown (blues /  USA)
& Nina Attal (soul acoustique / France)

Jeudi 14 avril 2011 à 19h30 complet
Roland Tchakounté (blues / Cameroun)
& Amar Sundy (blues touareg / Algérie)

Vendredi 15 avril 2011 à 20h30 complet
Eric Mc Fadden (blues folk / USA)
& Marc André Léger (blues, Folk, Country / Canada)

Samedi 16 avril 2011 à 19h30
Malted Milk (soul, funk / France)

Dimanche 17 avril 2011 à 15h30
Ensemble orchestral de Paris
Musique de chambre – Les Concerts Salade

Présenté en partenariat avec TSF, Soul Bag et Télérama.

 

Gaâda Diwane de Béchar

Gaâda Diwane de Béchar
(diwane / Algérie)
Avec Aicha Lebga Menoury (chants, percussion), Tayeb Laoufi (chant, violon, guembri, bouzouki), Abdelati Laoufi (chant, percussions), Amar Chaoui (derbouka, percussions), Thierry Fournel (guitare, chœur), Menni Mohamed (percussions) et Pierre Eric Rakotoarivony (basse).

Les musiciens chanteurs de Gaâda sont de retour au Théâtre 13 ! A l’occasion de cette rencontre le temps d’une soirée – qu’elle soit belle –, Gaâda proposera de prendre appui sur ses chants et mélodies pour aboutir à une transe collective.
Gaâda nous guidera vers le Touat, le Gourara (au bord de l’Erg occidental) jusqu’aux Atlas, en passant par les hauts plateaux algériens, en recréant le Diwane des villes du Maghreb, mêlant et tissant tour à tour des rythmes arabo-bèrbères, des chants mystiques traditionnels, des sonorités africaines et des fresques musicales colorées de blues.
 « Gaâda sème le vent. Nos corps en récoltent le tempo. Vent des tribus qui, sandjak oriflamme déployée, chantent et dansent ; processions de tribus qu’un même vent a fédérés en peuple.
Au cœur du Sahara, et sur son pourtour, Noirs, Berbères, Arabes, ont au fil des siècles tissé les rythmes, les musiques qui disent la ferveur, soupir de l’opprimé adressant aux cieux une prière lancinante. Rythmes et musiques dépouillés, sans faste, tous empreints de la simplicité de la vie dans les territoires de l’éveil à la soif, le désert ; antienne rappelant la petitesse de l’homme devant l’immensité. Rythmes et musiques dépouillés pour célébrer avec une force exceptionnelle le miracle de la vie. »  Sadek Aîssat , écrivain , journaliste.

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Keith B. Brown

(blues – Usa)
solo guitare / chant
Keith B. Brown, originaire de Memphis -Tennessee- est mondialement reconnu pour sa maîtrise de la musique du delta du Mississipi : musicien conjuguant brillamment tradition et modernisme, il n’a de cesse de repousser les limites du style. C’est donc tout logiquement qu’il fut choisi comme l’un des interprètes principaux du premier volet de la série de film sur le blues, initié par Martin Scorsese et réalisé par Wim Wenders, « The Soul of a Man » (2003).
Autre atout décisif de Keith B : il est chanteur-auteur-compositeur.
Ses racines profondes, nourries du delta-blues, combinées à sa sensibilité soul, folk, pop, font de cet artiste une « voix » nouvelle, puissante et originale sur la scène musicale d’aujourd’hui. Guitariste hors pair, à la voix sombre et puissante, un artiste de grande classe, entre émotion fascinante et parfaite musicalité.

Souvent comparé au légendaire Skip James sur le plan physique, il possède une voix puissante et sensuelle, un jeu de guitare souple et chaud. Citizen Jazz

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Nina Attal

(soul accoustique)
Avec Nina Attal (chant, guitare) et Philippe Devin

C’est à 13 ans que Nina apprend la guitare. Après s’être rapidement fait remarquer dans les jams parisiennes, la fin de l’année 2008 voit s’accélérer le buzz et ses premiers pas sur scène se font aux côtés d’artistes comme Lucky Peterson, Fred Chapellier, Jean-Jacques Milteau et bien d’autres.
Pulvérisant les frontières du blues, Nina Attal assume avec une maturité impressionnante ce mélange entre l’héritage des pères fondateurs du blues B.B.King, Albert Collins, Albert King, Freddie King, Buddy Guy, Muddy Waters et l’influence d’artistes Soul comme Prince, Jamiroquai ou Stevie Wonder.
Nina en a puisé un style aux racines Blues qui flirte avec la Soul et le Funk, avec un don unique des arrangements, très énergiques et clairement conçus pour la scène et le Live. Et ses prestations sur les festivals de cet été n’ont fait que confirmer tout le bien que l’on pensait d’elle. De Cahors à Montréal en passant par Nantes, elle ne cesse d’impressionner tous ceux qui ont la chance de la voir sur scène.
Du haut de ses 18 ans, Nina Attal nous montre que la relève est assurée avec talent et confirme le vieil adage: « Better the Roots, Sweeter the Fruits »

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Roland Tchakounté

(blues / Cameroun)
Avec Roland Tchakounté (guitare / chant), Mick Ravassat (percussions) et Matthias Bernheim (guitare)

Pour des raisons évidentes qui tiennent au statut de mal aimé propre au Premier Continent, l’esprit du blues a trouvé un écho particulièrement fort en Afrique où vie rime trop souvent avec tragédie. « Ce que je chante dans mes chansons relève de la même histoire que celle des pionniers du blues. J’écris et je chante pour noyer le sentiment d’amertume que m’inspire l’existence », reconnaît Roland Tchakounté.
Son nouvel album, « Blues Menessen », ne dit pas autre chose. En y exorcisant ses frustrations, Tchakounté marche sur les traces des premiers bluesmen qui soignaient leur vague à l’âme en le mettant en musique, forts de la certitude que seul le blues est à même de guérir du blues.
Dans le cas de Roland, cette immunisation spirituelle est le fruit d’un long processus entamé dans les années 60 à Douala, où il est né de parents pauvres chassés par l’exode rural. Il faut attendre 1989 pour que Roland trouve le moyen d’émigrer en France. Jusqu’à la fin de la décennie, l’orchestre électrique de Tchakounté tourne régulièrement, faisant même une apparition remarquée au festival Blues-sur-Seine, mais l’articte reste à la recherche de son véritable destin musical. Il ne le découvre qu’en 2002 lorsqu’il entend par hasard un enregistrement de John Lee Hooker.
L’exemple du chanteur et guitariste malien Ali Farka Touré avait déjà poussé Roland Tchakounté à chanter dans sa langue natale ; le mariage du blues acoustique avec son dialecte bamiléké lui semble alors la conclusion naturelle de son évolution artistique. Porté par le guitariste Mick Ravassat et le percussionniste Mathias Bernheim, le nom de Roland Tchakounté s’est imposé depuis sur le circuit du blues, de Montréal à Cognac, de Paris à Chicago.
À l’image de la fleur de lotus puisant sa beauté dans la boue, le blues trouve ses racines dans l’horreur de l’esclavage. La musique de Roland Tchakounté, fruit d’une alchimie comparable, est un cri sacré né d’un profond désir de croire en l’Homme, en dépit de tout. En luttant avec ses textes contre l’amertume qui le maintient souvent éveillé la nuit, il nous apporte la preuve qu’il est, par essence, un bluesman

Un chant puissant de résistance et d’espoir. Magnifique – Nouvelle Vague
Roland Tchakounté trouve sa voie et la magnifie – Worldsound

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Amar Sundy

(blues touareg / Algérie)
Avec Amar Sundy (guitare / chant), Gérard Carocci (percussions) ou Olivier Monteils (batterie) et Henri Dorina (basse)

Issu d’une longue lignée de touaregs, non loin de Tamanrasset (Algérie) Amar Sundy rejoint la France au début des années 60. Il y découvre la richesse de la musique afro-blues américaine. Dans les années 80, il fréquente les clubs de blues parisiens, Le Baiser Salé, Le Sunset, Le Duc des Lombards… Très vite il devient un habitué que l’on voit aux côtés de Memphis Slim, B.B. King … C’est en 85, dans un club de Chicago, que Jimmy Johnson le remarque et l’invite à partager la scène locale avec des légendes telles que Sunnyland Slim, Otis Rush, Big Time Sara, John Littlejohn, etc… Sa carrière de bluesman est véritablement lancée.
Pendant six ans, il tourne en Europe et aux USA avec Albert King (qui lui donnera le surnom de « Fils du Mississipi »), Albert Collins, Screamin’ Jay Hawkins, Khaled, Linda Hopkins, James Cotton…
1990 est marqué par la sortie de son 1er album « HOGGAR-CHICAGO-PARIS ». Les dates s’enchaînent : Festival de Jazz de Montréal, Francofolies de Montréal, festival d’été de Québec, Arezzo Festival Italie, Barcelone Blues festival, Winston Legend festival… première partie d’Albert King, Van Morrison, Robert Plant ou Khaled.  En 1998, après quelques expérimentations et recherches d’un style basé sur la fusion du Blues et des rythmes Sahraoui, Amar Sundy sort son deuxième album « HOMME BLEU ». Cet album a remporté un immense succès et installe son nom au royaume des artistes qui marqueront à tout jamais le Blues. En 2004,  sort « NAJMA » le 3ème album : La concrétisation d’une longue quête vers un style définitivement personnel . En 2006, le label Putumayo Records, reprend le titre OUALLACHE dans sa compilation BLUES AROUND THE WORLD. 2008 est l’année de l’enregistrement de son nouvel album « SADAKA ».

Sadaka surprend par son style dépuoillé et sa luminosité, sa fluidité et son originalité. Un miracle – Blues Mag Un album étonnant – Soul Bag

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Eric Mc Fadden

(blues folk / USA)
Solo guitare / chant

Le chanteur, compositeur et guitariste Eric McFadden est un musicien incontournable de la célèbre scène West Coast grâce à ses participations autour des projets Liar, Alien Lovestock, IZM, Holy Smokes et du The Eric McFadden Experience. George Clinton, le pionnier du Parliament/Funkadelic était tellement impressionné par McFadden qu’il a recruté le guitariste sur l’une de ses tournées avec le P-Funk All Stars. Il n’en fallut pas plus pour introniser McFadden au panthéon des guitaristes de funk-rock guitar aux côtés des Ernie Isley, Nile Rodgers, Cornell Dupree, Gary Shider, Michael Hampton et d’ Eddie Hazel. McFadden a tourné et joué en compagnie de Bo Diddley, du troubadour blues Keb Mo’, de Living Colour, de Les Claypool, la tête pensante de Primus, et de bien d’autres encore. McFadden a lâché ses incomparables riffs et son style rock hispanisant sur Holy Happy Hour de Stockholm Syndrome en compagnie de Dave Schools (Gov’T Mule). Il a été enrôlé, ainsi que son groupe, pour épauler Eric Burdon sur la dernière tournée mondiale de l’ex-chanteur des Animals. Grâce à son Devil Moon salué unanimement au printemps 2005 et à sa double anthologie Dementia en 2006, Eric McFadden est de plus en plus reconnu en Europe. Il joue sur deux tableaux depuis une dizaine d’années, délivrant ainsi régulièrement un album solo (Eric McFadden) puis un disque plus mâtiné rock avec son groupe (Eric McFadden Trio). Dernièrement Let’s Die Forever (2007) et Delicate Thing (2009) se sont vus conquérir un public de plus en plus nombreux et des media de plus en plus enthousiastes. Guitariste californien hors norme, étonnant compositeur et parolier, Eric mcFadden n’est pas seulement le genre de « killer » qui dégaine plus vite que son ombre atomisant ses auditeurs sous une rafale de quadruple croches. Aucun mot ne peut réellement définir sa musique. Un ensemble toujours cohérent d’acoustique, d’électrique, de discrets violons, de mandoline et d’autres instruments à vents. Ce qui fait surtout plaisir à l’écoute d’un disque d’Eric mcFadden, c’est l’impression d’entendre un musicien libre, heureux de jouer et qui se fiche de n’avoir ni le succès ni la renommée tant mérités.

Mc Fadden est un artiste complet, chanteur et compositeur solide, qui se distingue par un hétéroclisme étonnant (…). Si tous les guitaristes virtuoses déployaient une telle vision musicale, on en serait ravi. Rock’N’Folk
Quand on découvre un artiste de la trempe d’Eric McFadden, on ne peut être qu’heureux, très heureux même. Un ovni, terriblement doué, inclassable, unique et guitariste de génie. Concertandco.com

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Marc André Léger

(blues, Folk, Country / Canada)
Solo guitare / dobro / chant

D’abord, il débarque du Canada pour jouer du blues aux européens, sa guitare à résonateur dans une main, son Mac Book dans l’autre et ses bottes de cowboy aux pieds. Et puis, son terrain de jeu du moment, c’est le blues roots, dans le plus simple appareil : guitare / voix. Mais attention, l’homme est surprenant ! Il a un jeu de guitare électrisant alliant dextérité et virtuosité, quant à sa voix, elle est sensuelle, veloutée et apporte une touche de soul au plus traditionnel des blues. Il transpire la générosité et la curiosité, plutôt surtout lorsqu’il s’agit de partager des moments rares sur scène avec le public.
Depuis son arrivée en Europe en 2008, Marc-André n’a cessé de faire parler de lui suite à ses prestations scéniques et est reconnu comme étant un artiste incontournable de la scène blues du moment par ses semblables. Par ses arrangements précis mais jamais figés, il multiplie les clins d’oeil aux dérivés du blues qui marquent sa vie musicale. Du coup, ça groove, c’est funky, folk et rock, toujours dans le respect de la tradition de ses racines. Chacun de ses concerts surprend et séduit les auditeurs aguerris comme les non-spécialistes du genre.

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Malted Milk

(soul, funk / France)
Avec Arnaud Fradin (guitare / chant), Yann Cuyeu (guitare), Igor Pichon (basse), Nicolas Mary (claviers) et Gilles Delagrange (batterie)

En ces temps de nouvelle vague de soul internationale, la scène française semblait manquer de dignes représentants du genre… jusqu’à l’avènement de ce troisième opus de Malted Milk, bien décidé à remédier à cette carence !
Originaire de Nantes, Malted Milk évolue dans la plus pure tradition de la musique afro américaine en mêlant le blues, la soul et le funk avec brio.  “Sweet Soul Blues“, leur dernier album, confirme la forte montée en puissance de l’une des meilleures formations Soul-Blues-Funk françaises. Une machine à groover infernale, pilotée par le grand timonier Arnaud Fradin et sa guitare inspirée.
Le groupe s’ouvre à un public toujours plus large en mêlant au Blues de ses origines, le Funk de la Nouvelle-Orléans et la Soul de Memphis. Sur scène, le groupe dégage une énergie communicative et spontanée faisant voyager le public au coeur de la «Black music».
Cette notoriété dépasse largement les frontières hexagonales, puisque le groupe s’est aussi produit à l’étranger à plusieurs reprises, que se soit pour accompagner des têtes d’affiches ou pour participer à la finale de l’ «International Blues Challenge» de Memphis en 2007.
Entre compositions et reprises, les titres oscillent entre la soul de Memphis évoquant Al green ou Syl Johnson, un blues funky en droite ligne d’Albert King, et l’influence du blues malien (Ali Farka Touré).

Excellent. Simple, direct et entraînant – Le Monde
La bonne surprise française de ce début d’année. So Jazz
A ne pas manquer sur scène. Les Echos

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Ensemble orchestral de Paris

(musique de chambre – Les Concerts Salade)
Avec Franck Della Valle (Violon), Mirana Tutuianu (Violon), Joël Soultanian (Alto), Étienne Cardoze (Violoncelle), Eckhard Rudolph (Contrebasse) et Laurent Colombani (Guitare et arrangements)

Prolongeant l’heureuse expérience des “Concerts Salade” créés par Jean Wiener, un groupe de musiciens de L’Ensemble orchestral de Paris propose l’association originale de compositeurs classiques, de jazz, de musique contemporaine, de chanson française ou anglaise et de musiques de films : occasion rêvée de flâner d’un univers à l’autre , de s’approprier des standards écrits pour d’autres formations, de varier les plaisirs en créant des salades aux goûts surprenants.
Pour ce concert, les musiciens revisiteront, pour notre plus grand plaisir, les standards du blues, spécialement arrangés par Laurent Colombani.



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