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Prix théâtre 13 / jeunes metteurs en scène 2015

10ème édition
Président du jury : Guy Pierre Couleau
Du 12 juin au 2 juillet 2015
T13 / Bibliothèque
1h30


Attention, concentré de jeunes talents !

Pour la dixième année consécutive, le Théâtre 13 organise son concours dédié aux jeunes metteurs en scène. Les participants ont entre 25 et 35 ans et les spectacles doivent comporter un minimum de 6 comédiens. Un jury de présélection (composé des metteurs en scène ayant travaillé au Théâtre 13) retient les 6 meilleurs projets parmi les 80 qui concourent chaque année. Ces spectacles sont présentés au public et au jury final (composé des principales institutions présentes dans le secteur du spectacle vivant ainsi que de directeurs de théâtres). Le lauréat de ce concours sera programmé au Théâtre 13 la saison suivante et recevra une aide financière pour cette reprise.

Pour le public, c’est l’occasion de découvrir le travail de jeunes metteurs en scène talentueux : des spectacles ambitieux, originaux et de très grande qualité. C’est aussi l’occasion d’être présent au moment de l’envol des créateurs de demain.

Pour les metteurs en scène, le concours est un réel dispositif d’accompagnement et de soutien : développer un projet ambitieux avec le soutien de metteurs en scène confirmés, confronter leur travail au public et rencontrer très vite les principaux partenaires de notre profession et les programmateurs de théâtre.

Finalistes 2015

Vendredi 12 juin 20h30  / Samedi 13 juin 19h30
Ivan Off
d’après Anton Tchekhov mise en scène Heidi-Eva Clavier

Mardi 16 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 17 juin 2015 à 20h30
Merlin ou la terre dévastée
texte Tankred Dorst mise en scène Marc Delva

Vendredi 19 juin 2015 à 20h30 / Samedi 20 juin 2015 à 19h30
Antoine et Cléopâtre
d’après William Shakespeare mise en scène Vincent Thépaut

Mardi 23 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 24 juin 2015 à 20h30
Les Fils de la terre
d’après le documentaire d’Edouard Bergeon mise en scène Elise Noiraud

Vendredi 26 juin 2015 à 20h30 / Samedi 27 juin 2015 à 19h30
Hot House
texte Harold Pinter mise en scène Loïc Renard

Mardi 30 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 1er juillet 2015 à 20h30
L’Enfant froid
texte Marius von Mayenburg mise en scène Stéphane Benazet

Jeudi 2 juillet 2015 à 12h (entrée libre)
Remise des prix

 

Jeunes metteurs en scène, pour participer à l’édition 2016, suivez ce lien

Les jurys

Jury Final

Le jury final sera présidé pour cette édition par Guy Pierre Couleau.

Les membres du jury final sont : Yohann Chanrion (directeur du Théâtre Rutebeuf – Clichy-la-Garenne), Noël Corbin (Directeur des affaires culturelles – Mairie de Paris), Jean-Paul Farré (comédien et Président de la commission Théâtre à la SACD), Marie-Lise Fayet (directrice du Théâtre de Bagneux), Alexandre Krief (directeur du Théâtre Romain Rolland / Villejuif), Audrey Levert (directrice de la Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay-sur-Seine), Claire Mirande (comédienne), Colette Nucci (directrice du Théâtre 13), Laurent Sroussi (directeur du Théâtre de Belleville), Aurélie Van den Daele (metteur en scène, artiste associée au Théâtre de l’Aquarium)…



 

Guy Pierre Couleau

Metteur en scène, il est nommé en juillet 2008 à la direction de la Comédie De l’Est, Centre Dramatique Régional d’Alsace, à Colmar qui devient en 2012 un Centre Dramatique National. Il débute au théâtre comme acteur en 1986, dans des mises en scène de Stéphanie Loïk, Agathe Alexis ou Daniel Mesguich.

Il réalise sa première mise en scène au Théâtre de L’Atalante en 1994 : Le Fusil de Chasse de Y.Inoué, puis continue de jouer et de mettre en scène alternativement jusqu’en 1998, date à laquelle il décide de se consacrer uniquement à la mise en scène : Vers les Cieux de Horvath, 1995 – Netty d’après Anna Seghers, 1998 – Déjeuner chez Wittgenstein de Thomas Bernhard, 1998. Il est metteur en scène invité du Théâtre national de Lettonie, à Riga, entre 1998 et 2007.  Il intervient à l’Université de Houston en 2004 pour une masterclass.

En 1999, il met en scène Le Baladin du Monde Occidental de John M. Synge, spectacle qui sera joué plus de trois saisons et notamment au Théâtre 13. Puis il fonde, en 2000, sa compagnie « Des Lumières et Des Ombres », qui devient associée au Moulin du Roc, Scène Nationale de Niort puis à La Passerelle de Gap et au Théâtre d’Angoulême. En 2001, Le Sel de La Terre, diptyque de Sue Glover et Frank McGuinness, est programmé au « Festival IN » d’Avignon.

Puis viendront les spectacles : Rêves de W. Mouawad à Niort puis Antony en 2005 ; L’Epreuve de Marivaux (Gap, 2005), Marilyn en chantée de Sue Glover (Angoulême, 2008), Les Justes d’Albert Camus (Gap et Athénée Théâtre Louis Jouvet en 2007), Les Mains sales de Jean-Paul Sartre (Gap et Athénée Théâtre Louis Jouvet en 2009).

Depuis son arrivée à la Comédie de l’Est, il met en scène La Fontaine aux saints et Les Noces du Rétameur de J.M. Synge (2010), Hiver de Zinnie Harris (2011), Le Pont de pierres et la peau d’images de Daniel Danis et Bluff d’Enzo Cormann. En 2012, Maître Puntila et son valet Matti qui rencontre un grand succès, puis Cabaret Brecht au printemps 2013. Il créé Guitou de Fabrice Melquiot en octobre 2013, puis Désir sous les ormes d’Eugène O’Neill en mars 2014. En novembre 2014, il créé Don Juan revient de la guerre d’Odon Von Horvath. Il met en scène Les Faux Monnayeurs, d’après André Gide à l’opéra de Montepulciano en juillet 2014.

Coup de coeur des chroniqueurs

Le jury est composé des chroniqueurs des site Théâtrorama, Théatres.com ainsi que des journalistes Alexandre Laurent (IDFM) et Anaïs Heluin (Politis).

Prix du public

Le jury du public sera constitué des spectateurs ayant choisi le festipass, et ayant donc vu tous les spectacles du concours.

 

Prix du public & festipass

Prix du public
Titre honorifique. Il est attribué par les spectateurs qui auront vu tous les spectacles du concours (Festipass – 6€ par spectacle).

Faire partie du Jury public c’est…
Aborder la proposition artistique en tant que spectateur, mais en prenant le temps de s’interroger plus en profondeur sur ce qui nous lie à la proposition théâtrale. Au delà du « j’aime » ou « j’aime pas » c’est partager ses impressions avec d’autres spectateurs, échanger autour de son ressenti, prendre le temps de comprendre pourquoi on a été plus ou moins sensible à une proposition artistique. C’est aussi s’interroger ensemble sur nos attentes au théâtre.
Le jury public rassemble donc un groupe de spectateurs qui, en fin de festival, se réunit pour échanger en toute simplicité et convivialité et choisir ensemble le projet qui semble le mieux correspondre à ses attentes.
Cette délibération sera animée par Yselle Bazin et Rafik Slama du Théâtre 13.

Réservez votre FESTIPASS (36 euros les 6 spectacles finalistes) au 01 45 88 62 22 et choisissez vos dates en toute liberté. Seul impératif : être présent à la délibération qui réunira l’ensemble des votants et qui aura lieu le 30 juin à l’issue de la représentation.



Intentions des organisateurs


Ce moment où l’enthousiasme des premières créations
rencontre la plus grande fragilité

2015 est la dixième édition de ce concours dédié aux jeunes metteurs en scène. Il ne s’agit pas de distinguer un spectacle ou une compagnie, mais bien un artiste et chef d’équipe, de l’accompagner, de le soutenir et de promouvoir son travail, tant auprès du public qu’au niveau des institutions et programmateurs.

Le Prix Théâtre 13 se situe à cet endroit très particulier du parcours d’un metteur en scène, où le choix d’y consacrer sa vie a été pris, mais où l’organisation de notre métier ne lui ouvre guère de portes. Ce moment très particulier où chaque création devrait l’aider à se faire repérer par le public et la profession, mais où l’accès aux théâtres est un parcours de combattant, et où les aides publiques sont quasiment impossibles à obtenir. Ce moment où l’enthousiasme des premières créations ambitieuses et exigeantes rencontre la plus grande fragilité.

En accompagnant ces artistes et en facilitant la rencontre avec les institutionnels et programmateurs (notamment à travers le jury final), le Théâtre 13 tente de rendre cette période la moins fragile et la plus courte possible.

Contrairement à d’autres concours et festivals autour de la jeune création qui se sont créés depuis, le dernier tour du Prix Théâtre 13 n’est donc pas une sélection de spectacles déjà montés et repérés dans d’autres lieux, mais bien un accompagnement sur toute une saison de projets et d’artistes qui ont su, par leur talent, leur urgence, leur ambition et leur maturité, séduire le jury de présélection. Le Théâtre 13 accompagne ainsi des projets qui deviendront, au 3ème tour, des spectacles, avec la part de risque qu’une telle démarche comporte.

Seul concours proposant une réelle ouverture aux jeunes metteurs en scène, les candidats du Prix Théâtre 13 ne doivent justifier d’aucun profil, parcours, appartenance, parrainage ou origine géographique. Seuls leur talent, créativité, engagement et capacité à mobiliser des énergies autour d’eux sont les critères de sélection.

Avec une vraie campagne de communication (affichage colonnes Morris, insertion presse écrite), de relations publiques, le Prix s’adresse définitivement au grand public. Ce n’est pas uniquement un laboratoire à destination des professionnels, mais bien un événement populaire qui sensibilise tous les publics à la jeune création. Le concours mobilise tous les ans plus de 4000 spectateurs sur 20 représentations (hors représentations hors les murs).

Parmi les lauréats des éditions précédentes, citons notamment Julie Deliquet et son collectif In Vitro. La metteure en scène sera artiste associée au TGP-CDN de Saint-Denis dès la saison prochaine et sera également à l’affiche du Théâtre de la Ville (Paris) à la rentrée. Volodia Serre a depuis mis en scène Trois Sœurs de Tchekhov au Théâtre de l’Athénée (2011) et Oblomov de Gontcharov à la Comédie Française (2013). Sara Capony  a obtenu la révélation féminine au palmarès du théâtre pour son spectacle.


Dans un autre registre, Samuel Theis a coréalisé avec Marie Amachoukeli et Claire Burger « Party Girl » le film d’ouverture d’Un certain regard au Festival de cannes 2014.

De nombreux lieux ont également pris le relais en programmant des spectacles issus du concours, indépendamment ou en collaboration avec le Théâtre 13 : Théâtre de Belleville, Théâtre Romain Rolland de Villejuif, Théâtre de Saint-Maur, Théâtre d’Epinay-sur-Seine, Théâtre de Bagneux, Le Lucernaire, Théâtre Actuel / Avignon, Maison des Métallos, Théâtre de l’Opprimé, Théâtre de Fort-de-France…

Depuis 2014, le jury final qui rassemble institutionnels et programmateurs est présidé tous les ans par un metteur en scène confirmé différent, qui sera également force de proposition pour constituer le jury. François Rancillac a été le premier à inaugurer cette « nouvelle formule » en 2014, Guy-Pierre Couleau prendra le relais en 2015. Ce président aura également un moment de rencontre privilégié avec les six finalistes.

L’ambition de ce changement est de renforcer la présence d’artistes au sein du jury et d’élargir le rayonnement du concours, au delà des réseaux traditionnels du Théâtre 13

Ivan Off

Vendredi 12 juin 20h30  / Samedi 13 juin 19h30
Comédie dramatique avec héros muet
Ivan Off
d’après Anton Tchekhov mise en scène Heidi-Eva Clavier

1h15 sans entracte – à partir de 11 ans

Ivan Off est un parcours à travers le silence d’un homme et l’incompréhension de tous face à lui. Adapté d’Ivanov de Tchekhov, ce spectacle tente de percer le mystère de cet homme qui ne répond jamais. Pourquoi se tait-il ? Mais également, que pourrait-il dire ?

Ivan Off est une recherche, une enquête sur un silence, celui d’Ivanov. Adapté de la pièce d’Anton Tchekhov, le silence ici est une tentative de traduire l’énigme que représente cet homme aux yeux du spectateur et des autres protagonistes. Il ne répond pas, plus. On s’interroge alors. Pourquoi ce silence ? Quelle détresse recouvre-t-il ? Quelle est son origine ? Quelles sont ses causes ? Quels effets ? Que pourrait-il dire s’il parlait ? Lui laisse-t-on le choix ?

C’est aussi le tableau de la fin d’un monde et de l’avènement d’un ordre nouveau, qui se manifeste par l’opposition de deux maisons et se solde par le naufrage de l’une d’entre elle, dans la ruine, la maladie et le désespoir ; tandis que l’autre se développe, grandit et prend peu à peu le pouvoir par l’argent.

C’est une tentative collective de s’approprier les mots de l’auteur et d’y intégrer ce silence, silence intime et personnel mais également prise de position face au monde, silence politique, militant. Face au monde qui se déverse en permanence dans chaque instant de paix, le silence est un centre, un cœur.

Le cœur de notre recherche et de notre dialogue avec Tchekhov, en tentant de raconter Ivanov avec le même étonnement, la même intransigeance, la même tendresse, comme un être qui cesse progressivement de suivre le cours des choses et qui devient, par là, l’œil d’un cyclone ravageur qui bouleverse tout sur son passage.

Avec
Hélène Bressiant Zinaïda Savvichna,
Julien Barret Lébédev,
Elsa Epis Babakina,
Maxime Gleizes Borkine,
Guillaume Laloux Ivanov,
Laureline Le Bris-Cep Anna Petrovna,
Pauline Tricot Sacha,
Gabriel Tur Lvov

Traduction Françoise Morvan et André Markowicz, Adaptation & scénographie Heidi-Éva Clavier, Collaboration artistique Lola Felouzis, Création lumières Nicolas Simonin, Musique Gabriel Tur, Costumes Théodora Paquet

Production Compagnie Sud lointain. Remerciements à la Comédie Française, à Arcal, au Jeune Théâtre National, à Juliette Prier, Laura Issad, Matej Hofmann, Paul McAleer, Jonathan Klein, Marie-Claire et Alain Clavier, François Clavier et Coco Felgeirolles.

Heidi-Éva Clavier
Après une année passée au conservatoire du VIIIe arrondissement, puis un an à l’école du studio-théâtre d’Asnières, Heidi-Éva Clavier intègre l’ERAC où elle étudie auprès de Catherine Germain, Guillaume Lévêque, Laurent Gutmann, Ludovic Lagarde, Hubert Colas, Jean-Jacques Jauffret et Gérard Watkins. De septembre 2013 à juillet 2014 elle est élève comédienne de la Comédie Française où elle joue dans les spectacles de Muriel Mayette, Véronique Vella, Jérôme Deschamps, Giorgio Barberio Corsetti, Clément Hervieu-Léger et Denis Podalydès.
En 2015, elle joue sous la direction de Laureline Le Bris Cep dans Reste(s), adapté de Guerre de Lars Noren.
Au cinéma, elle a joué sous la direction de Jean-Jacques Jauffret dans No Signal (help) en 2013.



 

Merlin

COMPLET

Mardi 16 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 17 juin 2015 à 20h30
Une épopée théâtrale, épileptique et collective
Merlin ou la terre dévastée : Prémices
texte Tankred Dorst mise en scène Marc Delva

1h30 sans entracte – à partir de 12 ans

Dans la légende du Graal, Merlin, né du Diable et d’une mortelle, est enchanteur, devin et conseiller du roi Arthur. Tankred Dorst recrée Merlin, mais à l’âge de la relativité. Dans cette mise à distance systématique et jubilatoire, il n’y a pas seulement un parti pris esthétique, mais également une leçon politique : Merlin est un guide, un artiste, un créateur, qui joue avec le feu : en lançant les hommes à la recherche du Graal, il provoque la perdition du royaume des hommes.

Dans la légende du Graal, Merlin, né du Diable et d’une mortelle, est enchanteur, devin et conseiller du roi Arthur. Tankred Dorst recrée Merlin, mais à l’âge de la relativité : certes on retrouve ici tout le merveilleux de la manne arthurienne, combats de dragons, l’épée fichée dans la pierre, les tours de Merlin, et le plaisir de réécouter ces histoires.. les amours de Lancelot et Guenièvre, la Table ronde,  » l’innocence » de Perceval, la déchéance de Mordret et la quête du Graal. Mais Dorst a compris que par les temps qui courent, les mythes qui nous hantent ne peuvent plus être représentés que dans la distance et l’ironie. Ainsi, les chevaliers conversent avec Mark Twain, et il peut arriver qu’un spectateur prenne feu sur scène. Dorst ne cesse pas de nous faire rire et de nous réjouir en accumulant les gags, les trucs de théâtre et les tours de magie. Et plus c’est énorme, plus le plaisir est grand, car on va aussi au théâtre pour voir de l’énorme. Dans cette mise à distance systématique et jubilatoire, il n’y a pas seulement un parti pris esthétique, mais également une leçon politique : Merlin est un guide, un artiste, un créateur, qui joue avec le feu : en lançant les hommes à la recherche du Graal, il provoque la perdition du royaume des hommes.
 



avec
James Borniche Sir Gauvain, Sir Orilus,
Florent Hu Sir Kaï, L’écuyer de Sir Yder,
Thomas Brazete  Perceval,
Manon Rey  Blanchefleure, Hélène, Galaad,
Grétel Delattre Le Diable, La narratrice,
Benjamin Guillet Le Roi Arthur,
Édouard Penaud Sir Lancelot, Sir Beauface,  
Elodie Galmiche  Hercéloide, Yseult, La grosse Berthe,
Christophe Garcia Merlin,
Sophie Mousel Guenièvre,
Flavien Bellec Mordret,
Hugo Bardin Le Clown, Sir Aggravain, Sir Yder,
Emmanuel Rehbinder Sir Lamorak,
Florian Boolay Mark Twain, Le menuisier

Traduction Hélène Mauler, Adaptation René Zahnd, Assistants à la mise en scène Elodie Galmiche, Vivien Niderkorn et Hugo Bardin, Création mapping vidéo Arnaud Berthonneau, Olivier Carru et Romain Da Costa de Digital Essence, Création vidéo Alexander Murphy et Gaspard Lembeye, Conception sonore Luc Delva, Création musicale Sophie Mousel, Edouard Penaud, Thomas Brazete, Benjamin Guillet, James Borniche et Manon Rey, Costumes Hugo Bardin et Marc Delva, Scénographie Thomas Brazete et Marc Delva

Production Collectif la Cantine 
Remerciements Thierry Borniche, Luc Delva, Rémi Delva, Dominique Delva, Eugénie Soulard, Julien Kosellek, Jean Pierre Garnier, Digital Essence, Arnaud Berthonneau, Olivier Carru, Romain Da Costa, le collectif La Cantine, Gaspard Lembeye, Alexander Murphy, Flo Fauquet, la famille Brazète, les Cours Florent, la Villa mais d’ici, l’harmonie st Denis, L’Arche éditeur, Tankred Dorst, Le Théâtre 13 et toute son équipe.
 

Marc Delva
Il entre au cours Florent en 2009 et il suit les cours de Serge Brincat, Frédérique Farina, Jérôme Dupleix. Christian Croset, Suzanne Marrot, Jean Pierre Garnier, Julie Recoing, Gretel Delattre, et de Christophe Garcia. Il joue dans Amélie… elle va changer votre vie et Un air de famille , deux spectacles mis en scène par Hugo Bardin et tient le rôle d’Alceste dans Le Misanthrope mise en scène de Arthur Lang. En 2013, il monte Les peintres au charbon de Lee Hall, spectacle recevant le prix de la meilleur interprétation collective ainsi que celui de la mise en scène. Au cinéma, il a joué dans Neiges d’Automne, premier long métrage d’Hugo Bardin diffusé au St André des arts juin 2015.

 

 

 

Antoine

Vendredi 19 juin 2015 à 20h30 / Samedi 20 juin 2015 à 19h30
Orgie antique géopolitique
Antoine et Cléopâtre
d’après William Shakespeare mise en scène Vincent Thépaut

1h30 sans entracte – à partir de 12 ans
 



Adaptation contemporaine et musicale sur fond de péplum hollywoodien, cette réécriture d’Antoine et Cléopâtre de Shakespeare emprunte aux discours propagandistes de géopolitique actuelle autant qu’à l’énergie érotique du Gangsta-funk pour atteindre l’ambition de cette fresque théâtrale : tirer un plaisir dionysiaque d’une effrayante tragédie du pouvoir.

Après cinq cent ans de république, Rome est tombé sous le joug de quelques oligarques. Les frontières se discutent dans les banquets, la propagande lève des armées.
Marc-Antoine, héro vengeur de la mort de Jules César a depuis longtemps cédé une vie décadente dans le palais d’Alexandrie, laissant Cléopâtre, la reine d’Egypte devenir maîtresse de sa personne et de son destin.
Rome le rappelle comme dernier rempart contre l’appétit hégémonique d’Octave.
Dans ce conflit, ceux que le peuple a imprudemment élevés comme maîtres du monde ne sont plus les esclaves que de leurs passions, et celles-ci sont à leurs images, excessives.

Racontée par Shakespeare, l’Histoire de Rome est fulgurante, érotique, éthylique, drôle, tragique et sanglante. Elle prend des accents de satire politique et écorche les dirigeants avec autant de violence qu’elle écrase les peuples. Pas de demi-mesure : tout est immense et deviendra infime, les dieux semblent avoir déserté le monde, laissant les hommes minuscules livrés à eux-mêmes s’épuiser dans leurs querelles et se noyer dans leur ivresse du pouvoir. Leurs cris ébranlent en vain la voûte du ciel.

Adaptation contemporaine et musicale sur fond de péplum hollywoodien, cette réécriture d’Antoine et Cléopâtre emprunte aux discours propagandistes de géopolitique actuelle autant qu’à l’énergie érotique du Gangsta-funk pour atteindre l’ambition de cette fresque théâtrale : tirer un plaisir dionysiaque d’une effrayante tragédie du pouvoir.

« MARC-ANTOINE : Je baiserai la mort jusqu’à ce qu’elle m’aime, je vais être une arme mille fois plus génocidaire que sa faux. »
 

Avec
Isabel Aimé Gonzales Sola, Cléopâtre,
Béatrice Aubazac Octavie, Iras,
Luca Besse  Marc-Antoine,
Florian Choquart Lépide, le messager, Taurus,
Simon Falguière Pompée, Scarus,
Elsa Foucault Agrippa, Charmiane,
Romaric Séguin Octave,
Vincent Thépaut Enobarbus

Traduction et adaptation Vincent Thépaut, Musiques originales Florian Choquart, Scénographie Julie Camus, Costumes Charles Chauvet, Lumières et son Léa Maris, Construction Antoine Alliot et Julie Camus, Moyens techniques Collectif Curry Vavart, Le Shakirail, Le Marshal, Association AGETA.

Production La Boite à Outils
Remerciements Dereck Woolfenden, Stéphanie Sacquet, Elisabeth Kinderstuth, Anne Beaugé, Serge Astreoud, Frederic Jessua, le collectif du K, les membres du collectif Curry-Vavart, le Théâtre National de Strasbourg, Le Jeune Théâtre National, Pierre Gollnick.
 

Vincent Thépaut
Il est metteur en scène, réalisateur et comédien. Il se forme au cinéma, à l’écriture de scénario et au montage à l’université de Marne la Vallée, au jeu au conservatoire du 19ème arrondissement de Paris puis à la mise en scène à L’Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Depuis 2008 il participe à l’administration du collectif d’artistes pluri-disciplinaire “Curry-Vavart” en charge de deux lieux de création à Paris. Il met en scène L’embrouille manouche de Nayel Zeaiter, spectacle itinérant dans les rues de Strasbourg en 2013, la Vie de Gundling… de Heiner Müller pour le festival Venice Open Stage 2013 ; Jules César de Shakespeare à l’école du TNS en 2013, Splendid’s de Jean Genet à l’école du TNS, Elle de Jean Genet pour le festival Venice Open Stage 2014, GZION de Hervé Blutch pour le festival Rencontre entre les mondes 2015, il est assistant de David Lescot sur le système de Ponzi en 2013, il travaille comme dramaturge pour Annabella ( dommage que ce soit une putain) mis en scène par Fréderic Jessua pour le théâtre de la tempête en mars 2016. Il réalise le long-métrage Le petit chaos d’Ana sur un scénario de Pierre Cévaër.

 

 

 

Les Fils

Mardi 23 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 24 juin 2015 à 20h30
Tragédie rurale
Les Fils de la terre
d’après le documentaire d’Edouard Bergeon, Adaptation et mise en scène Elise Noiraud

1h20 sans entracte – à partir de 10 ans

Dans le sud de la France, Sébastien, un jeune agriculteur, porte à bout de bras la ferme familiale. Son exploitation est au bord du gouffre : Sébastien croule sous les dettes car le lait qu’il produit se vend chaque jour moins cher. Et chaque jour, son père lui répète qu’il ne fera jamais aussi bien que lui. De pressions financières en pressions familiales, le fils doit choisir : sauver la ferme de son père ou sauver sa vie.

Les Fils de la Terre est un film documentaire d’Edouard Bergeon, sorti en 2012. Cette adaptation en est largement inspirée. C’est un texte théâtral, mais dont l’origine documentaire se ressent dans le réalisme des dialogues, et dans le choix d’un sujet résolument social.
Les Fils de la Terre est un spectacle que l’on pourrait résumer ainsi : tragédie rurale. Dans un hameau du sud de la France, un fils, Sébastien, porte à bout de bras la ferme familiale. Il travaille aux côtés de son père, paysan retraité, mais qui considère que son fils n’est pas capable de s’en sortir seul. Et en effet, l’exploitation est dans une situation intenable : Sébastien croule sous les dettes parce que le lait qu’il produit se vend chaque jour moins cher. Et chaque jour, son père lui répète qu’il ne fera jamais aussi bien que lui. Quand l’histoire commence, Sébastien vient d’obtenir du tribunal un délai de 6 mois pour régler ses dettes. S’il n’y parvient pas, la ferme de son père sera mise en liquidation. De pressions financières en pressions familiales, le fils va devoir choisir : sauver la ferme de son père ou sauver sa vie.

Ce spectacle amène sur scène une réalité sociale souvent méconnue ou ignorée (et loin des fantasmes de retour à la terre) : celle des agriculteurs d’aujourd’hui, tout en nous faisant entrer dans l’histoire déchirante d’une famille. Une famille qui a accumulé tellement de non-dits qu’elle est au bord de l’implosion.

Entre conte moderne et théâtre documentaire, ce spectacle part de questions économiques pour plonger peu à peu dans des questions humaines, et interroger le thème de la filiation, qui dépasse largement le cadre du monde agricole.
 



Avec
Benjamin Brenière l’ami, le juge, le photographe, un infirmier,
François Brunet le père,
Sandrine Deschamps La femme, la représentante en cosmétiques,
Julie Deyre la mère, la traductrice, la sage-femme, l’animatrice radio,
Sylvain Porcher le juriste, l’acheteur hollandais, un infirmier
Vincent Remoissenet le fils

Scénographie Boris Van Overtveldt, Création lumières Philippe Sazerat, Création sonore François Salmon et Adrien Soulier, Costumes Mélisande de Serres, Décor Baptiste Ribrault

Production Compagnie Théâtre de l’Epopée. Remerciements Compagnie Etincelles – Aubervilliers

Elise Noiraud
Après une licence de Lettres Modernes, Elise Noiraud intègre les Ateliers du Sudden. Elle travaille en tant que comédienne avec de nombreuses compagnies, participant à des projets variés : du classique au contemporain, du théâtre forum au jeune public. Elle a ainsi joué, entre autres, dans L’Opéra de Quat’Sous (m.e.s. Franck Berthier), La Double Inconstance (m.e.s. Raymond Acquaviva), Les Contes du Chat Perché (m.e.s. Thierry Jahn), Italienne Scène (m.e.s. Victorien Robert, prix du public au Prix Théâtre 13 en 2011), Le Cas de la Famille Coleman (m.e.s. Johanna Boyé, lauréate du Prix Théâtre 13 en 2013)…
Très attachée à la pédagogie, Elise est également depuis de nombreuses années intervenante théâtrale en milieu scolaire et associatif pour des enfants et des adolescents.
En 2008, elle connaît une première expérience de mise en scène en montant Toi et tes Nuages d’Eric Westphal au Sudden Théâtre, expérience suite à laquelle elle devient l’assistante de Raymond Acquaviva, puis, quelques années plus tard, celle de Johanna Boyé sur Le Mirage des Forains (à l’Académie Fratellini). Face à son envie grandissante de mettre en scène, elle ressent le besoin de prolonger sa formation et retourne donc en 2011 à l’université, pour valider un premier Master Recherche en « Etudes Théâtrales » à Paris III, puis un second Master, professionnel cette fois : le Master « Mise en Scène et Dramaturgie » de Nanterre.
Elise est également l’auteur et l’interprète d’un spectacle seule-en-scène intitulé La Banane Américaine, qui a été joué au Théâtre de Belleville en 2013 après avoir été lauréat du festival ICI&DEMAIN en 2012. Elle travaille actuellement sur le deuxième volet de ce projet autofictionnel.

 

House

Vendredi 26 juin 2015 à 20h30 / Samedi 27 juin 2015 à 19h30
Drame protestant
Hot House
texte Harold Pinter mise en scène Loïc Renard

1h20 sans entracte – à partir de 12 ans
 



La pièce se déroule dans une sorte de maison de repos, ou de sanatorium. C’est Noël et il fait anormalement chaud. Le directeur, Roote, et ses adjoints, Gibbs et Lush, s’entretiennent sur les affaires en cours. Abus de pouvoir, abus sexuels, alcoolisme et incompétence généralisée jouent à saute-mouton.

Hot House est écrite dans les années 50, Harold Pinter est encore à l’université. C’est une pièce de jeunesse, particulièrement riche et débridée. Le carnage final est presque délirant ; Pinter se gardera bien, par la suite, d’user de telles extrémités narratives.
Ici rien ne change, rien ne doit changer. La vie de cette maison est rythmée « depuis des temps immémoriaux » par des dizaines de fêtes et de cérémonies traditionnelles. Noël marque le passage d’une année à l’autre et les cycles s’enchaînent, mais le temps n’existe plus.

Pourtant « il est en train de se passer quelque chose ».

Pinter évoque, à travers la confrontation Roote-Gibbs, un changement d’époque. Deux générations s’affrontent, qui prétendent exercer leur pouvoir différemment. Ou plutôt qui développent deux discours différents pour le légitimer.
Roote l’Ancien prophétise depuis son trône. Il connaît le passé, donc il connaît l’avenir. Ses récits sont de nature biblique, il gouverne au nom des pères. Il entretient la légende mythologique du « Fondateur » dont il est le descendant direct.
Gibbs, le mathématicien, l’expert, le futur technocrate, vaut par sa précision, son sang froid, et l’attention qu’il porte aux chiffres. Hot House nous montre la victoire en marche du second.

Qui sait quoi ? Qui entend quoi ? Les micros sont partout – et sacrés – mais certains ne sont au courant de rien. Celui qui sait a le pouvoir. On passe son temps à chercher, véhiculer ou dissimuler des informations.
Qui veut quoi ? Que doit-on vouloir ? Hot House est le spectacle dune société qui aliène, qui contrôle jusqu’aux désirs de ses membres, et transforme les individus en agents. Ce que les hommes doivent vouloir, c’est la perpétuation de l’ordre établi.

« Et soyez contents… »
 

Avec Etienne Durot Tubb / Lobb,
Basile Lacoeuilhe
Lush,
Jean-Christophe Legendre
Roote,
Antoine Reinartz
Gibbs,
Loïc Renard
Lamb
Anaïs Thomas Cutts

L’Arche est agent théâtral du texte représenté. Traduction et adaptation Loïc Renard,  Costumes Camille Aït Allouache

Production Compagnie Cipango. Remerciements chaleureux à : Jeanne Frenkel, Arnauld Lisbonne, Fred Jessua, Edith Proust, Damien Zanoly, Anne Prigent et Jean-Philippe Frenkel, France Lacoeuilhe, Martine et Denis Renard.

Loïc Renard
Après des études de Lettres Classiques à la Sorbonne, Loïc Renard se forme au Studio-Théâtre d’Asnières, auprès de Jean-Louis Martin-Barbaz. En 2010 il intègre le Conservatoire National d’Art Dramatique, dans les classes de Daniel Mesguich et Gérard Desarthe. Avec ces professeurs il s’intéresse particulièrement au répertoire moderne européen et notamment anglo-saxon. Depuis 2013, il a joué sous la direction d’Anne-Laure Liégeois, Pauline Bayle, Emilie Rousset, Ronan Rivière et Basile Lacoeuilhe.

Hot House est sa première mise en scène.

 

L’Enfant

Mardi 30 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 1er juillet 2015 à 20h30
Comédie glaçante
L’Enfant froid
texte Marius von Mayenburg mise en scène Stéphane Benazet

1h20 sans entracte, à partir de 12 ans
 



L’Enfant froid se passe dans le monde de la classe moyenne européenne : il y a Papa et Maman, qui ont de l’argent et veulent le garder pour eux, leurs deux filles, Lena la rebelle et Tine la dévergondée, et leurs amants respectifs, Johann, qui confond toujours Lena avec une certaine Melanie, et Henning, qui aime exhiber son sexe dans les toilettes des dames. Sans oublier Werner et Silke, un couple accompagné d’un enfant dans un landau…

Au commencement, ils se croisent dans un bar à Berlin.
Il y a Lena, la jeune femme rebelle, lassée du conformisme de son père. Elle cherche désespérément une lueur dans ce monde austère, quitte à embellir la réalité…
Il y a Tine, sa sœur, qui en a assez d’être la petite dernière. Elle veut se frotter au monde des adultes. Charnellement.
Il y a Papa, obnubilé par l’argent. Il a gagné sa vie péniblement. Il ne le dit pas mais il rêve de voyager. Un jour peut-être…
Il y a Maman, qui vit dans l’ombre de Papa. Elle aussi, elle aimerait découvrir le monde. Oui mais… sans Papa.

Plus loin, se trouve Henning, un jeune homme naïf et gentil. Il aimerait avoir une vie normale. Malheureusement il ne peut s’empêcher de se masturber en écoutant des femmes faire pipi.
A côté d’eux, il y a Werner et Silke, un couple de trentenaires accompagné d’un enfant.
Werner est un bon père, il s’occupe bien de sa fille. Trop peut-être.
Silke, elle préfère boire. Beaucoup. Elle aspire à une autre destinée. Peut-être qu’elle n’a pas exactement la vie dont elle rêvait…
Tous essaient d’exister, essaient de parler, essaient d’avancer.

Et puis, il y a  cet enfant, qui les observe.
Mais lui parviendra-t-il à devenir ce qu’il souhaite ? Sera-t-il plus chaleureux que le monde qui l’entoure ? N’est-il pas déjà froid ?

 

Avec
Logan de Carvalho Werner,
Laurent Deve Henning,
Amélie Esbelin Silke,
Delry Guyon Papa,
Anaïs Harte Lena,
Sophie Le Cam Tine,
Côme Thieulin Johan,
Marie Thieulin Maman

Traduction Laurent Muhleisen. L’Arche est agent théâtral du texte représenté. Scénographie Sébastien Heurtier, Création Lumière Marc Cixous

Production Compagnie Tête Bêche. Remerciements aux membres de la Cie Tête Bêche pour leur aide précieuse, à Lucie Prost et au centre d’animation place des fêtes pour leur accueil chaleureux, à Damien Schahmaneche pour ses conseils avisés, à Loïc Fredouille pour son mobilier de qualité et à Adeline Blais pour son soutien inconditionnel.

Stéphane Benazet
Il se forme en tant que comédien au Wrz théâtre puis suit régulièrement les stages de Robert Castle sur la méthode Lee Strasberg. A sa sortie de cours, il intègre la troupe de théâtre forum du Théâtre du Chaos.
Au théâtre il a notamment joué dans les Caprices de Marianne de Musset et Volpone de Ben Johnson pour la Compagnie tête bêche, La Maldone de Maupassant pour la Compagnie anguille au vert, le baiser de la veuve d’Israël Horovitz et les 7 jours de Simon Labrosse de Carole Fréchette pour la Compagnie Cavalcade.
Il apparaît également dans plusieurs téléfilms et séries comme Lignes de feu, Braquo d’Olivier Marchal, La fin de la nuit de Lucas Belvaux, ou la Maison des Rocheville.

Ayant était formé à L’École Supérieure de Réalisation Audiovisuelle de Paris, il se tourne assez vite vers la réalisation et surtout la mise en scène de théâtre. Il  met notamment en scène Montserrat d’Emmanuel Roblès puis Le Plan Delta de Julie Aminthe, jeune auteure issue de l’ENSATT et primée au CNT. En partenariat avec l’hôpital Paul Brousse de Villejuif, il met en scène, au théâtre Romain Roland, 2 créations écrites et jouées par les patientes anorexiques de l’hôpital. Depuis quelques années, il se tourne également vers la mise en scène de concerts et travaille régulièrement pour plusieurs groupes de musique dont Le Common Diamond, International Hyper Rythmique, Alpaga.

 

Revue de presse

Ces chroniques n’engagent que leurs auteurs,
ils ne sont en aucun cas l’avis du jury ou de l’équipe du concours


Vendredi 12 juin 20h30  / Samedi 13 juin 19h30
Ivan Off
d’après Anton Tchekhov mise en scène Heidi-Eva Clavier
Entretien avec Heidi-Eva Clavier (Théâtres.com)
Critique (pausecritique.com)
Critique (froggy’s delight)
Critique (Théâtres.com)
Critique (Théâtrorama)

Mardi 16 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 17 juin 2015 à 20h30
Merlin ou la terre dévastée
texte Tankred Dorst mise en scène Marc Delva
Entretien avec Marc Delva (Théâtres.com)
Critique (Froggy’s Delight)
Critique (Pauscritique)
Critique (Théâtrorama)

Vendredi 19 juin 2015 à 20h30 / Samedi 20 juin 2015 à 19h30
Antoine et Cléopâtre
d’après William Shakespeare mise en scène Vincent Thépaut
Entretien avec Vincent Thépaut (Théâtres.com)
Critique Frogg’ys Delight
Critique (Théâtrorama)

Mardi 23 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 24 juin 2015 à 20h30
Les Fils de la terre
d’après le documentaire d’Edouard Bergeon mise en scène Elise Noiraud
Entretien avec Elise Noireaud (Théâtres.com)
Critique – pausecritique.com
Critique – froggy’s delight
Critique – Théâtres.com
Critique – Théâtrorama

Vendredi 26 juin 2015 à 20h30 / Samedi 27 juin 2015 à 19h30
Hot House
texte Harold Pinter mise en scène Loïc Renard
Entretien avec Loïc Renard (Théâtres.com)
Critique – Froggy’s delight
Critique – pause critique
Critique – Théâtrorama
Critique – Théâtres.com

Mardi 30 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 1er juillet 2015 à 20h30
L’Enfant froid
texte Marius von Mayenburg mise en scène Stéphane Benazet
Entretien avec Stéphane Benazet (Théâtres.com)
Critique Frogg’s Delight
 



 

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