T13 / Glacière
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Le porteur d’histoire

d'Alexis Michalik
mise en scène de l'auteur
Spectacle créé en collaboration avec le Théâtre 13
Du 4 septembre au 14 octobre 2012
T13 / Glacière
1h35

Une quête vertigineuse à travers l’Histoire et les continents. Un feuilleton littéraire haletant qui nous entraîne dans un périple effréné à travers le temps. Une invitation à relire l’histoire, notre Histoire.

Par une nuit pluvieuse, au fin fond des Ardennes, Martin Martin doit enterrer son père. Il est alors loin d’imaginer que la découverte d’un carnet manuscrit va l’entraîner dans une quête vertigineuse à travers l’Histoire et les continents. Quinze ans plus tard, au cœur du désert algérien, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement.

Le Porteur d’histoire est un roman, un film, un conte, une légende, un feuilleton littéraire haletant à la Dumas, qui nous entraîne dans une quête effrénée, un périple à travers le temps.

Mêlant personnages célèbres et illustres inconnus, le Porteur d’Histoire nous invite à relire l’histoire, notre Histoire, à travers celle de Martin Martin, mais aussi celle d’Alia et de sa fille, d’Alexandre et d’Adélaïde, de Marie-Antoinette ou du Prince de Polignac.

Cinq comédiens endossent les costumes d’une myriade de personnages. Ils sont là pour nous livrer un double héritage: un amas de livres frappés d’un étrange calice et un colossal trésor accumulé à travers les âges par une légendaire société secrète.

Note d’intention

Le théâtre, générateur inépuisable d’imaginaire

Le Porteur d’histoire est une réflexion sur la part du récit dans nos vies et sur son importance.
Comment explorer, à travers un spectacle, une multitude de modes de narration ?

Pour ce faire, j’ai choisi cinq acteurs : trois hommes et deux femmes; cinq tabourets, un plateau nu et deux portants chargés de costumes. Les cinq acteurs incarnent un nombre illimité de personnages fictionnels ou historiques. Au fil du récit, ils deviennent moteurs et instruments narratifs.

En premier lieu, j’ai commencé par raconter l’histoire que j’avais en tête à chacun des acteurs, perpétuant ainsi la tradition orale du conte ou du récit. Ce faisant, j’élaborais moi-même mon histoire au fil des entrevues. Je répartis ensuite les rôles et les répétitions commencèrent. J’utilisais alors des improvisations dirigées pour élaborer des scènes fragiles et vivantes, presque toujours sur le fil.
J’enregistrais à l’aide d’un dictaphone le résultat de nos journées de travail, puis rentrais réécrire la scène, enrichie de la contribution des «personnages», comme s’ils existaient pour de bon.
Qu’est-ce que l’Histoire ? Qu’est-ce qu’une histoire ? Qui sommes nous ?
Le porteur d’histoire est un récit foisonnant, non linéaire, qui ouvre des tiroirs narratifs et des pistes illimitées de récit, en s’appuyant sur un terreau inépuisable : notre histoire commune.

J’ai l’intime conviction que seul le théâtre, générateur inépuisable d’imaginaire, permet ce voyage extraordinaire de siècles en siècles, de continents en continents, avec pour seuls moyens des comédiens, quelques costumes et des spectateurs

Alexis Michalik






 

Générique

Avec
Amaury de Crayencour
Evelyne El Garby Klai
Magali Genoud
Eric Herson-Macarel
Régis Vallée


Assistante à la mise en scène Camille Blouet,
Lumières & régie générale Anaïs Souquet,
Costumes Marion Rebmann,
Son Clément Laruelle,
Musique Originale Manuel Peskine

Production Mises en Capsules et Compagnie Los Figaros

Spectacle présenté en partenariat avec le magazine Lire

 

Parcours

Alexis MICHALIK texte et mise en scène
S’il fait ses débuts de comédien sur les planches d’un théâtre, c’est à la télévision qu’Alexis Michalik se fait connaître du grand public. On le retrouve ainsi dans divers téléfilms ou séries: Petits meurtres en famille, Terre de lumière, Kaboul Kitchen… Remarqué au cinéma, notamment dans Sagan de Diane Kurys, L’autre Dumas de Safy Nebbou, L’âge de raison de Yann Samuell, ou La fin du silence de Roland Edzard, il continue de se distinguer au théâtre, dans des comédies comme Le dindon mise en scène de Thomas Le Douarec, ou dans le rôle-titre de Juliette et Roméo, sous la direction d’Irina Brook. Avec la compagnie Los Figaros, Alexis Michalik met en scène et signe des adaptations pour le moins déjantées des oeuvres de William Shakespeare, parmi lesquelles La mégère à peu près apprivoisée, ou R&J. Le porteur d’histoire est sa première pièce en tant qu’auteur.
 

Amaury DE CRAYENCOUR Martin, Eugène, Frédéric, De Bourmont, Henri, Dimitri, Alexandre fils, Jérôme.


Formé à l’atelier théâtre d’aujourd’hui en 2004, puis au studio théâtre d’Asnières en 2006 et au CFA des comédiens de 2007 à 2010, Amaury DE CRAYENCOUR a abordé différents textes de Brecht, Molière, Shakespeare, Musset, Marivaux, Labiche, Feydeau, Bond, Pirandello… Sous la direction d’Hervé Van der Meulen, Jean-Louis Martin Barbaz, Yveline Hamon et Chantal Déruaz. Depuis 2005, il travail régulièrement à théâtre ouvert sous la direction d’Edouard Signolet sur des textes de l’auteur suédoise Sofia Freden, « Main dans la main » et « Pourrie une vie de princesse ». Avec Edouard Signolet, il a aussi chanté et dansé dans « West side Story » mise en scène de Jeanne Roth et direction musicale de Patrick Souillot. Avec le studio il aborde aussi le chant et la danse avec Jean-Marc Hoolbecq, notamment dans « La boite à Joujou » de Claude Debussy.

 

Evelyne EL GARBY KLAI Alia, Josiane, Joséphine, Barbara, Yolande
Après une formation à l’ESAD, Evelyne EL GARBY KLAI approfondit son expérience en participant à de nombreux stages dans divers théâtres (La Tempête, le Théâtre National de Chaillot, la Comédie de Reims , le nouveau théâtre d’Angers ) et en collaborant avec différentes compagnies telles que la Cie Babel95 (le village en flammes, L’augmentation, Les Chevaliers Pillards), la Cie RA (Amour à l’arabière, Marie Stuart) ou encore la Cie A.M.K (Rose). Tout récemment, elle intègre la Cie Européenne (Les Troyennes) dont la création a inauguré la première édition du Festival international de Naples avant d’entamer une tournée européenne. Après une deuxième création en Italie , Roméo et Juliette, sous la direction du metteur en scène anglais Alexander Zeldin, elle retrouve la France dans la nouvelle pièce de Frédéric Bélier-Garcia, Yakich et Poupatchée , en tournée actuellement.


Magali GENOUD Jeanne, Huguette, Sylvie, Aurélie, Adélaïde, Marie-Antoinette
C’est en interprétant le rôle de Done Elvire dans une mise en scène d’André Steiger que Magali GENOUD s’est découvert un amour sans faille pour le métier de comédienne. Formée à l’Ecole Claude Mathieu puis admise au CNSAD de paris, elle exerce avec passion son art. Sur les planches elle a incarné des rôles tels que Nina dans « La mouette », Dona dans « Kvetch » ou Hermia dans « Le songe d’une nuit d’été ». A la télévision elle a tenu le rôle récurrent de Marie dans la série « Fabien Cosma » (France 3). Magali a fondé sa compagnie Dix2coeur dont le premier projet est un moyen métrage, une adaptation de Roméo et Juliette. Actuellement, elle défend Roxane dans un « Cyrano de Bergerac » mis en scène par Anthony Magnier.
 

Eric HERSON-MACAREL L’homme, le notaire, Henri, Polignac, Sixte II
Au théâtre, de 1984 à nos jours, Eric HERSON-MACAREL joue de nombreux textes classiques ou contemporains, sous la direction de Jacques Lassalle, Lucian Pintilié, Didier Bezace, David Géry, Lucie Tiberghien, Alexis Michalik, Philippe Adrien et bien d’autres. Il tourne au cinéma principalement avec Bertrand Tavernier, Philippe Lioret et Xavier Giannoli, et à la télévision avec Marcel Bluwal, Jean-Pierre Marchand, Cathy Verney, etc… En 2009, il écrit, produit et réalise « La Place Léon Blum », moyen-métrage anachronique. Il crée ensuite avec Hélène Lausseur la compagnie « Le pied de la lettre », vouée principalement à l’écriture poétique contemporaine (Paol Keineg, Bernard Noël, Marina Tsvetaeva…). Très présent sur les ondes de France-Culture, il enregistre également de nombreux livres-audio – dont « Le Comte de Monte-Cristo »…
 

Régis VALLÉE Le patron du bar, Michel, Alexandre, L’homme sans âge, L’agent, Le douanier, le garagiste, Le père, Hervé, Clément VI
« Après une double licence d’Allemand et d’Etudes Théâtrales à la Sorbonne , Régis VALLÉE part vivre en Allemagne où il joue dans Die Frist de Durrenmatt et tourne régulièrement à Munich. En France, il suit une formation au Conservatoire du XIXème puis aux Conservatoires du Centre et du Xième. Guitariste et chanteur, il participe à des spectacles musicaux comme Aladdin ou Robin des Bois. Il a également interprété des pièces du répertoire classique et moderne comme Bérénice de Racine, Les Enfants de Bond, Bad Trip de et avec Ambroise Michel, Les Enfants d’Izieu ou Gengis Khan de Henry Bauchau. Il a joué dans tous les spectacles d’Alexis Michalik dont La Mégère à peu près apprivoisée et R&J »

Rencontre

Rencontre
avec Alexis Michalik et toute l’équipe artistique du spectacle
le dimanche 23 septembre 2012 à l’issue de la représentation vers 17h15.


(entrée libre)
 

Garde d’enfants

Garde d’enfants contée
pour les enfants de 5 à 11 ans

Dimanche 16 septembre 2012 pendant la représentation de 15h30
Spectacle de conte, suivi d’un atelier puis d’un goûter.
Animé par Carole Visconti.
(6€ par enfant)
Réservation indispensable 7 jours à l’avance au 01 45 88 62 22




 

Prix des places

Tarif plein 24€
Tarif réduit 16€
Le 13 de chaque mois tarif unique à 13€
Scolaires 11€
Abonnés 10€
Allocataires du Rsa 6€
Enfants de 5 à 11 ans 6€

Les Tarifs réduits sont accordés, sur présentation d’un justificatif aux jeunes de 12 à 25 ans, personnes de plus de 65 ans, personnes à la recherche d’un emploi, habitants du 13ème, collectivités, intermittents, groupes à partir de 6, adhérents de nos théâtres partenaires



Extrait vidéo

Edition texte

Le Texte Le Porteur d’histoire d’Alexis Michalik a été édité dans notre collection Les Inédits du Théâtre 13, en collaboration avec les Editions Les Cygnes.

Il est en vente au Théâtre 13, après la représentation (10€)

Presse

Trois acteurs et deux actrices nous emmènent dans un tourbillon cocasse et délirant. Une cascade d’histoires où il est question d’une mère et d’une fille qui disparaissent en Algérie, d’un homme qui se perd dans la forêt des Ardennes, de la découverte d’un trésor et d’autres événements abracadabrants. Une suite de récits qui s’enchaînent à la manière de « marabout, bout de ficelle » où apparaissent pêle-mêle Alexandre Dumas, Marie-Antoinette, Delacroix et une mystérieuse Adélaïde. C’est mené tambour battant par des comédiens habiles et toniques, qui passent avec fluidité d’un personnage à l’autre, d’un lieu à un autre. Eric Herson-Macarel est le porteur d’histoire. Il fait la paire avec son frère de scène, Amaury de Crayencour. Le spectacle est plein d’une folie jubilatoire qui nous parle avec énergie des pouvoirs de l’imaginaire et du livre.

Télérama – Sylviane Bernard-Gresh (TT)
 

Autant vous prévenir de suite, le spectacle d’Alexis Michalik a produit sur nous la même émotion et le même engouement que lorsque nous avions découvert « Incendies » de Wajdi Mouawad. L’artiste libano-québécois a ouvert une belle boîte de Pandore et la jeune génération y puise une créativité régénérante. Alexis Michalik nous avait régalés avec ses deux premiers travaux joyeusement inspirés par Shakespeare, « La mégère à peu près apprivoisée » et « Roméo + Juliette », dans lesquels régnait un côté fou portant la légèreté et l’audace de la jeunesse. Avec « Le porteur d’histoire », l’artiste passe un cap. Cette fois-ci, il n’adapte pas, et se présente comme un auteur, et pas des moindres. Quant à sa mise en scène, elle porte trace d’une belle maturité. Alexis Michalik s’intéresse à la quintessence du théâtre, à savoir : nous raconter une histoire avec rien. Ce rien signifie : pas de décors, pas de superflu, un plateau nu et notre imagination en roue libre. Pour que cela fonctionne, il faut s’appuyer sur les comédiens sans qui rien ne peut se faire. Ici, ils sont cinq, interprétant plusieurs personnages, se passant le relais. Des prestations d’Evelyne El Garby Klai, Magali Genou, Amaury de Crayencour, Eric Herson-Macarel et Régis Vallée il serait réducteur de ne retenir que la performance d’acteur. Nous sentons chez eux un plaisir gourmand de faire respirer et vivre le texte. Dans une belle unité de jeu, ils nous entraînent dans un périple à travers le monde et le temps. On porte tous en nous notre histoire, celle de nos ancêtres et celle de l’humanité. C’est ce que comprend Martin Martin après la mort de son père. En découvrant un carnet manuscrit, ce jeune homme sans repères voit son univers basculer. Sa vie va alors ressembler à un roman à la Dumas. Ce spectacle a connu un grand succès deux années de suite au Festival off d’Avignon, il a tout pour transporter le public parisien !

Pariscope – Marie-Céline Nivière

Des histoires à applaudir debout

Roméo et Juliette, c’était lui. « La Mégère à peu près apprivoisée », encore lui. Le brillant Alexis Michalik débarque avec une création : « le Porteur d’histoire ». Récit tourbillonnant inspiré des traditions orales, ce vertigineux voyage réveille l’imaginaire. Il enchante.
Brodées, fabriquées de toutes pièces, tissées, les belles histoires sont les histoires saisies sur le fil. Alexis Michalik l’a bien compris, lui qui monte un magistral récit choral, nouant les liens entre les siècles, entre l’Histoire et les récits de famille, entre les anonymes et les plus célèbres. Ils sont cinq, armés de tabourets-de-fonction et d’un portant où pendent les peaux de leurs personnages, qu’ils enfilent plus vite que leur ombre. Une lumière changée, un accent, et aussitôt une nouvelle histoire est née, qui s’ajoute aux autres, l’enrichissant, la déroutant. Tout à la fois racine et arbre, rhizome et ramage, cette fable touffue plonge dans le passé – Moyen Âge, Révolution, xixe siècle florissant — pour aller de l’avant. Elle s’inspire en cela des traditions orales – des histoires passées écrites au présent, pour l’avenir – augmentées et anoblies par chacun de leurs passeurs.
Et quels passeurs, ces cinq acteurs éblouissants de rigueur et d’aisance ! Éric Herson-Macarel, le porteur d’histoire principal, narrateur en chef, exerce un pouvoir quasi hypnotique, entraînant dans sa course folle quiconque aura tendu l’oreille. Le grain de sa voix et la force de son regard le rendent maître en conviction : un conteur hors pair. Il amorce l’histoire, comme d’autres mettent le feu aux poudres : aventurier égaré un soir et accueilli dans un foyer au Maghreb, par une heureuse panne de voiture, il quitte la route pour sillonner d’autres pistes, balisées par l’histoire de cette famille qui recèle un trésor : une bibliothèque riche de volumes anciens. L’un d’eux s’ouvre et d’entre ses pages surgissent une kyrielle d’historiettes ou de récits glorieux, d’anecdotes et d’évènements, des dizaines de personnages qu’Amaury de Crayencour, Évelyne el-Garby Klai, Magali Genoud et Régis Vallée endossent avec brio.
Ce jeu de piste qu’ils tricotent sans répit ravive nos désirs d’enfants avides d’histoires, mais ravit aussi nos fantasmes d’hommes heureusement inaboutis, en quête de racines, d’une identité. Rassurant. Grâce à un enchaînement cinématographique – fait de courtes séquences et de fondus élégants – néanmoins très littéraire, fondé sur un jeu d’associations, de dérivations, d’errements féconds, la joyeuse équipée agence une mosaïque de récits contre les idées reçues. La joliesse de la fable réside en deux enseignements : l’identité n’a jamais lieu, c’est une histoire sans fin, un palimpseste ; toute vie est une narration, nous ne sommes jamais tout à fait enracinés, ni jamais tout à fait vierges de toute histoire, il revient à chacun de se choisir ses enracinements. Porteur d’espoir.







Les Trois Coups – Cédric Enjalbert

Dans le désert, un homme égaré débarque chez deux femmes qui vivent loin de tout. L’homme commence à parler et voici les femmes suspendues à son histoire. Croisant les fils du temps, de l’espace et des destins des différents personnages, le texte commence alors à se tisser sous nos yeux. Et nous voici tout entier pris dans une intrigue qui habilement, peu à peu, se déroule et se brode. Les comédiens, excellents, Éric Herson-Macarel en tête, nous baladent en voiture, en avion, en diligence. Ils nous transportent de l’Antiquité au Moyen Âge. Nous mènent à la rencontre d’Alexandre Dumas, d’un prof dans sa cabane au Canada, d’une ci-devant rescapée de la Terreur… À une époque où certains dramaturges dédaignent la narration, Alexis Michalik ose, lui, raconter une histoire. Il va même jusqu’à scander son spectacle de questions : Qu’est-ce qu’une histoire ? Qu’est-ce que l’Histoire ? Qui sommes-nous ?


La réponse est à lire sur le sourire des spectateurs à la sortie. Enchantés d’avoir été quelques instants ravis à eux-mêmes pour mieux se retrouver ensuite. D’avoir replongé dans un imaginaire trop souvent consigné aux vestiaires des théâtres.

La vie – Isabelle Francq

 

 

Reprise 2013

LE PORTEUR D HISTOIRE
est repris au STUDIO DES CHAMPS ELYSEES

Du 6 février au 26 Mai 2013
Du mardi au samedi à 20h30, en matinée le dimanche à 16h00.

Réservation sur le net :
http://www.comediedeschampselysees.com

Réservation par téléphone : 01 53 23 99 19
ou Résathéâtre : 0892.707.705 (0,34 €/mn)
(location ouverte du lundi au samedi de 11à 19h et le dimanche de 11h à 15h30 )
Tarifs : Catégorie unique : 32 €

Profitez des Premiers aux Premières (-50%) du 6 au 10 février 2013 inclus.

Jeunes -26 ans : 10 €
Du mardi au jeudi selon disponibilités à partir d’1 heure avant le début de la représentation.

Studio des Champs Elysées
15 avenue Montaigne 75008 Paris

Accès :
En métro :
   – Ligne 9, station Alma-Marceau
   – Ligne 1, Franklin Roosevelt

En bus :
   – Lignes 80, 42, 92, 63 et 72

RER :
   – Arrêt pont de L’Alma (ligne C)
     puis traverser la Seine à pied
 


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