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Le massacre du printemps

Elsa Granat
Du 9 au 25 mars 2023
T13 / Bibliothèque
Dès 13 ans 1h35

À la fois théâtre de situations et théâtre d’images, le spectacle rend compte de la
puissance du choc, entre violence et furieuse envie de vivre.

Il y a des événements comme ça qui semblent insurmontables, tu penses qu’ils vont te laisser cloué·e au sol. Et pourtant tu vas découvrir des forces inespérées et inventer des printemps même sur pelouse synthétique.

Tu participes aujourd’hui au Massacre du Printemps. Oui j’ai bien dit « Massacre ». Une femme ramasse les restes d’un anniversaire d’enfant dans un jardin artificiel. Des brèches s’ouvrent, elle se retrouve face à elle-même, adolescente au chevet de sa mère qui décèdera d’un cancer. Quinze jours après, elle apprend que son père a la même maladie.

 

LE MASSACRE DU PRINTEMPS

Texte et mise en scène Elsa Granat

Dramaturgie Laure Grisinger

Avec Antony Cochin, Elsa Granat, Clara Guipont, Laurent Huon, Mahaut Leconte, Hélène Rencurel et Gisèle Antheaume

Lumière Véra Martins Son Antony Cochin et Enzo Bodo

Costumes Marion Moinet

Régie son John M.Warts

Administration et production Agathe Perrault

Diffusion Camille Bard

Avec la participation de musiciennes et musiciens amateurs de l’Harmonie des Deux Rives (Paris 13e), sous la direction d’Anthony Ropp : Isabelle Audfraye, Jean-Sébastien Bante, Thibault Barre Villeneuve, Laure Beaumont, Didier Beutier, Catherine Blaye, Christian Boulissière, Marc Bredif, Joris Bricout, Delphine Bugner, Elina Chantreau, Clarisse Chatelard, Patrick Chocat, Clarisse Dave, Jules De Floras, Yoanne Dubernet, Victor Dubois, Mélanie Gros, Alice Hamelin, Yuna Hangouët, Lenka Ihnatova, Alban Jousse, Muriel Kaiser, Jean-Marc Lacave, Véronique Laudouar, Pascal Marselli, Bénédicte Mousset, Maya Nouvel, Fred Pech, Denis Pennequin, Pierre Pontier, Jeanne Bleuenn Renault, Quentin Savalle, Sylvie Soulé, Pierre Venel, Andrea Vielhaber, Patrice Willi, Michel Jeunet.

Coproduction Théâtre- Studio – Alfortville

Soutien SPEDIDAM, Arcadi

Aide à la résidence CENTQUATRE-PARIS, Théâtre Antoine Vitez – Scène d’Ivry

La Compagnie Tout Un Ciel est conventionnée par le ministère de la Culture (DRAC Île-de-France)

Elsa Granat est artiste associée au Théâtre des Îlets – Centre dramatique national de Montluçon, Région Auvergne-Rhône-Alpes et au Théâtre de l’Union – Centre dramatique national du Limousin et est membre de la maison d’artistes LA KABANE

Teaser

Tribune d’Elsa Granat pour Libération

Comment bien se soigner, bien vivre, bien vieillir ? Rendez-vous à Caen, les 9 et 10 décembre au
MoHo avec le LibéCare pour débattre avec médecins, intellectuels et experts. En attendant
l’événement, réalisé en partenariat avec la région Normandie, la MGEN et l’ADMD, Libération
publiera dans un espace dédié articles, tribunes et témoignages.
 
Au sein de Tout un ciel, la compagnie que j’ai fondée, je souhaite créer un territoire fertile
comme un jardin, à partir des pistes du « care ». Le théâtre sert à incarner de la pensée, à réunir
les champs spirituel, émotionnel et intellectuel, et c’est ce territoire imaginé que j’entends
partager avec les publics. Une approche résolument tournée vers l’implication des amateurs sur
le plateau, vers les sujets qui fâchent, une approche qui laisse parler les sensibles. Reconvoquer
le fragile chez les actifs qui, tête dans le guidon, passent trop vite sur l’enfance et détournent les
yeux des anciens. Une façon de tirer le frein à main et d’utiliser le temps lent, précieux et vain
du théâtre pour ce qu’il est depuis l’Antiquité : un outil pour penser le vaste monde
incompréhensible. Ensemble, acteurs, amateurs, experts, non-experts, s’interroger sur les
super-tendances de notre civilisation que l’on voit passer au-dessus de nos têtes : la perte du
lien, l’annulation de l’intelligence humaine dans l’intelligence artificielle, la quantification de
toutes les actions. Nous levons les yeux au ciel et voyons un arc de décisions qui nous dépassent
et agissent sans que nous ayons prise sur elles. Les « mettre en jeu » est un moyen de s’approprier
ce temps si précieux qui est le nôtre, notre unique et sauvage vie.
 
Le Covid-19 a fortement modifié ma manière d’envisager le processus de déploiement du travail.
Il nous est aujourd’hui impossible de nous projeter sans tenir compte de la crise sanitaire et des
besoins qu’elle a générés. Le corps social est carencé. Nous aurons besoin de nous réinventer, fil-
de-féristes au pas tremblé. L’art est un espace de minoritaires. C’est un endroit qui répare sans
attendre. Sans attendre que justice soit faite, que légitimité soit donnée. Puisqu’il agite le noir et
le bleu, le terrible et l’ancien, le pathétique et l’idéal, le barbare et le blessé. C’est un espace
social de réunification que je trouve hors du commun, car rien n’y est binaire. Tout se réunit
dans un geste collectif pour rendre compréhensible une aberration humaine.
 
Et puis vient la pratique. Vient le moment où l’acteur bute sur les quatre coins d’une situation.
Un nouveau cartilage se forme; à chaque rôle joué, c’est une nouvelle ossature d’âme qui pousse
à l’intérieur de l’homme. Il éprouve, accueille, il s’ouvre littéralement à l’altérité. J’ai l’occasion
de travailler avec des acteurs amateurs et je vois ce bien qu’ils se font en incarnant sur scène
d’autres dimensions d’eux-mêmes. La joie profonde quand ils sentent se créer ce lien
inexplicable de deux acteurs qui jouent ensemble. Une façon inouïe de connaître l’autre, sans en
savoir plus, sans en savoir trop, tout en rencontrant intimement son mystère.

Ce qu’en pense la presse

 » En peu de temps, des mots très justes sont posés sur la maladie, la perte, le deuil.
Ils sont reçus cinq sur cinq par le public, lequel est littéralement happé par cette forme de récit textuel et scénique qui ne ressemble à rien de connu.
Très grand moment. « 

Joëlle Gayot

Télérama

«  Ce Massacre du Printemps raisonne aussi finalement comme la perte musique d’une époque et d’une
société en mal de paroles. Au-delà même de l’univers de la maladie. En trouver serait un bon début. « 

L’Humanité

«  (…) La démarche, plutôt rare dans le contemporain, mérite largement le détour, en ce qu’elle dynamite
tout a priori démagogique sur le propos grâce à une habile et émouvante écriture textuelle et scénique. « 

La Gazette des Festivals 

«  Une vibrante introspection. Poignante ode à la vie. « 

Olivier Frégaville Gracian d’Amore

Médiapart

 

«  Avec un texte puissant et une mise en scène d’une grande originalité, Elsa Granat dessine un chemin de deuil très personnel, dont la justesse résonne en profondeur. Elle fait du théâtre un véritable terrain de réflexion et de réconciliation, mais aussi une invitation à « inonder les gouffres » de ses larmes pour les « rendre bleus ». Avec à l’horizon, l’espoir d’une lumière par-delà le chagrin. « 

Marie-Valentine Chaudon

La Croix 

Revue de Presse

Audiodescription du 18/03

Le samedi 18 mars, le Théâtre 13 propose une scéance audiodécrite, en partenariat avec Accès Culture. 

Pour toute demande de réservation, merci de l’adresser à Yselle Bazin 

Galerie

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