La bande du tabou
T13 / Glacière
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La bande du tabou

de Prévert, Vian, Béart, Kosma, Sartre, Aragon, Ferré, Gainsbourg
Création collective
Du 14 mai au 23 juin 2013
T13 / Glacière
1h35

12 comédiens, chanteurs et musiciens font revivre le jazz, le be-bop, l’amour des mots du Saint-Germain-des-Prés des années 50, en conviant Sartre, Beauvoir, Vian, Gréco, Gainsbourg, Prévert et les autres. Une descente dans les caves du quartier latin, revisitées par de jeunes créateurs d’aujourd’hui.

Saint-Germain-Des-Prés, 1950.

Devenu le haut lieu à la mode, musiciens, auteurs, philosophes, cinéastes, peintres… s’y retrouvent dans l’effervescence d’après-guerre, guidés par le goût de la fête revenu. L’existentialisme cohabite avec le jazz américain, de nouveaux noms s’imposent (Prévert, Cosma, Ferré, Vian…), le foisonnement d’idées littéraires et artistiques marquera l’époque.

La jeunesse d’après-guerre fait rêver ; aujourd’hui elle inspire de jeunes créateurs. Nous revisitons donc ces années pleines d’espoir où tout est possible, où tout reste ouvert.

Comment nous, jeunes trentenaires, racontons ce club mythique qu’est Le Tabou ?

On vous accueille un verre à la main, le pop-corn éclatant, on se presse, on s’entasse, prêts à danser, boire, fumer, s’engueuler sur le cinéma ou sur les nouveaux penseurs. On jubile de la liberté retrouvée, et puis surtout, on chante !

Qui ? Sartre, Beauvoir, Vian, Gréco, Gainsbourg et les autres. Autant de figures emblématiques que l’on s’approprie à mesure que le spectacle avance.

La Bande du Tabou fait revivre le jazz, le be-bop et l’espoir d’un monde meilleur.

Générique

Avec
Claire Barrabès (Françoise),
Fiona Chauvin
(Zazie),
Sol
Espeche (Juliette),
Antonin Meyer-Esquerré (Jean-Paul),
Pascal
Neyron (Boris),
Yoann Parize
(Serge),
Lorraine de Sagazan (Simone),
Jonathan Salmon
(Jacques),
Guillaume
Tarbouriech (Marcel)
et les musiciens
Cédric Barbier (percussions),
Delphine Dussaux (piano)
Lucas Gaudin (saxophone)

Création collective sur une idée originale de Yveline Hamon et Jean-Pierre Gesbert collaboration artistique et chorégraphique Jean-Marc Hoolbecq coordinatrices du projet Sol Espeche et Lorraine de Sagazan direction musicale Delphine Dussaux arrangements musicaux Delphine Dussaux, Lucas Gaudin et Jean-Pierre Gesbert, régie et création lumière Charlotte Montoriol, scénographie Antoine Milian costumes Bruno Marchini (de l’Atelier de Costumes du Studio-Théâtre d’Asnières), diffusion Olivier Talpaert (En Votre Compagnie), Presse Pascal Zelcer et Jean-Philippe Rigaud, Administration Alexandre Delawarde

Co-production Compagnie Narcisse et Le Studio d’Asnères (Direction Hervé Van der Meulen et Jean-Louis Martin-Barbaz). Avec le soutien de la Spédidam et du Conseil général des Hauts-de-Seine. Coréalisation Théâtre 13

site de la compagnie

Notes d’intention

Rendre hommage à la tradition du cabaret
par l’enchaînement de numéros, de chansons et d’humour

 

L’époque

Le projet est né au Studio d’Asnières, sous l’impulsion d’Yveline Hamon et de Jean-Pierre Gesbert qui souhaitaient réunir un groupe d’acteurs autour de la période des années 50 à Saint-Germain-des-Prés, sous la forme d’un cabaret. Ils ont décidé de nous proposer, à nous, groupe de jeunes artistes tous issus du CFA des comédiens d’Asnières sur Seine, d’écrire sur le sujet en nous attribuant à chacun le rôle d’une figure emblématique de cette époque.

Nous plonger dans ces années d’idéal et d’effervescence nous a immédiatement séduits et passionnés. En racontant cette époque, nous parlons de la nôtre, de la difficulté que nous éprouvons à nous affirmer comme génération intéressante, porteuse d’un nouveau message, d’une culture qui lui est propre.

Nourris de Sartre, Beauvoir, Prévert, Gréco, Vian, Gainsbourg et des autres, nous avons redécouvert tout ce qui a fait de cette période un foisonnement de nouveautés et de créations émancipées. Nous avons travaillé sur des thématiques fortes de l’époque : le jazz, le cinéma, les existentialistes, la fascination pour les Etats-Unis, les médias, les contemporains des années 50 (auteurs, poètes, compositeurs).

Nous avons d’abord choisi les chansons qui nous correspondaient et qui reflétaient notre manière d’entrevoir les années 50 à Saint-Germain-des-Prés… Puis, l’envie d’aller bien au-delà d’un simple tour de chant s’est rapidement imposée à nous. Nous avons voulu construire une dramaturgie solide à partir d’une écriture collective, et une mise en scène relevant davantage du théâtre que du récital. Nous nous sommes attachés à restituer l’essence d’une soirée dans la cave la plus célèbre de l’époque : Le Tabou.

La forme

Chaque acteur s’est donc vu attribuer une personnalité de l’époque autour de laquelle  il a travaillé. De l’évocation simple à l’interprétation décalée et humoristique de chacun de nos personnages, nous avons joué avec ces figures pour construire une histoire.

Le spectacle est un hommage à la tradition du cabaret (par la succession de numéros chorégraphiques ou humoristiques, de chansons…), tout en y apportant un ton résolument contemporain par des moments de pur théâtre et la construction d’un scénario drôle et intemporel. Des séquences plus intimistes, voire sombres, contrastent avec le rythme soutenu du cabaret, en surprenant toujours le spectateur.

Au début de la représentation, c’est nous, jeunes trentenaires en 2013, qui nous proposons de raconter le Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre. Puis, progressivement, l’atmosphère de l’époque prend possession de la scène comme un révélateur photographique…

Nous souhaitions que le spectateur puisse voyager des années 50 à aujourd’hui, qu’il pense au cinéma, au jazz, aux questionnements des jeunes philosophes et créateurs du Saint-Germain-des-Prés d’alors, et à leur résonance actuelle.

Un fil rouge guide le spectateur au cours de cette soirée : Boris Vian. Les personnages attendent son arrivée, l’évoquent, l’imitent, le chantent, lui donne vie pour combler son attente…

La scénographie, les lumières

Nous avons reconstitué un “Tabou idéal” : un véritable cabaret avec son bar, ses tables, son estrade pour musiciens et sa piste de danse. Certains détails trahissent volontairement le réalisme pour ouvrir un espace au rêve, à l’imaginaire : des costumes suspendus dans les airs, des objets insolites…

La lumière est tamisée, on se sent chez soi, sur scène comme dans la salle. La démarcation scène/salle est inexistante au début, et même si elle semble se dessiner au fil du spectacle, les acteurs-chanteurs restent toujours en lien avec le public et les interactions entre l’un et l’autre ne se perdent jamais…

Le cabaret finit comme il commence : à l’entrée nous accueillons le public, nous l’installons, puis à la fin nous ouvrons les portes, le raccompagnons vers la sortie, près à renouveler le rendez-vous.

Le projet n’a cessé d’évoluer, pendant toute la durée des répétitions.  Il y a, à chaque représentation, un espace de liberté et une part laissée à l’improvisation. Un véritable « work in progress » à travers lequel nous apprenons à nous construire en tant qu’artiste par le prisme de ces figures qui nous animent.



L’équipe du spectacle

La musique

La musique d’après-guerre

L’après-guerre de 40, c’est l’âge d’or de la chanson en France, parce qu’elle bénéficie d’un concours de circonstances favorables : le développement du microphone élargit le champ des interprètes et le disque microsillon élargit celui des auditeurs. La tradition de la chanson réaliste et celle de l’opérette sont encore très vivantes : Piaf remplit les salles, Francis Lopez aussi – mais c’est plutôt rive droite.

Par ailleurs, des auteurs de grande qualité littéraire, Mac-Orlan, Prévert, Aragon, Queneau, Sartre, ne dédaignent pas d’être mis en musique, et parallèlement, des auteurs-compositeurs, auteurs-interprètes, voire auteurs-compositeurs-interprètes de forte personnalité prennent leur envol : c’est Ferré, c’est Brassens, c’est Brel, c’est Aznavour ; des complicités étroites se créent – Joseph Kosma avec Prévert, par exemple. Le jazz commence à sortir d’un cercle étroit d’initiés et à toucher un public plus large ; Aznavour ne s’y est pas trompé, qui a adapté en français nombre de succès anglo-saxons. Il y a Juliette Gréco, qui par sa personnalité fascinante et sa curiosité éclectique tisse des liens entre ces univers.

Et puis il y a Boris Vian. Vian, c’est un peu tout cela : un véritable auteur, qui pendant ses dernières années s’est  passionné pour cette forme ramassée d’écriture qu’est la chanson. Un vrai musicien, qui a su à la fois établir des complicités avec des compositeurs de grand talent, Alain Goraguer, Jimmy Walter, Michel Legrand, Henri Salvador, et au besoin se muer lui-même en compositeur.

Un amateur passionné de jazz,  qui a fait connaitre en France Duke Ellington, Miles Davies et bien d’autres, et qui a brisé les barrières entre chanson traditionnelle et jazz. Un personnage emblématique enfin, doté d’une curiosité insatiable, d’une imagination foisonnante, d’un énorme appétit de vivre, d’un sens de la surprise et de la provocation jamais démenti, héraut du politiquement incorrect dont Serge Gainsbourg est le fils spirituel.

Comment s’étonner  alors que dans notre Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre visité en rêve par une bande de jeunes comédiens-chanteurs-danseurs pleins d’appétit de vivre, de jouer, de chanter et de danser, ce soit Boris Vian qui se taille la part du Lion ?



Jean-Pierre Gesbert

 

Les chansons du spectacle

Adrienne – J. Prévert/C. Verger

ah ! si j’avais un franc cinquante – M. et J. Schonberger

C’est le be-bop – B. Vian/J. Diéval

Chambre 33 – R. Vitrac/Y. Spanos

Déshabillez-moi – R. Nyel/G. Verlor

Il n’y a plus d’après – G. Béart

Inventaire – J. Prévert/J.Kosma

 

J’aime pas – B. Vian/B. Vian et C. Laurence

J’coûte cher – B. Vian/J. Walter

Je m’aime – B. Vian/A.Goraguer

Je voudrais pas crever – B. Vian/C. Vence

J’suis snob – B. Vian/J. Walter

L’air de la bêtise – J. Brel

La belle jambe – L. Aragon/J. Kosma

La java des bombes atomiques – B. Vian/A. Goraguer

La vie de bohême – R. Vincy/F. Lopez

Le déserteur – B. Vian/B. Vian et H. Berg

Le feutre taupé – C. Aznavour/P. Roche

Le jazz band – L. Ferré

 

Le rififi – P. Girard/J. Larue

Les nuits d’une demoiselle – C. Renard/G.Breton

Medleys Moi j’aime les femmes fatales, Mouloudji, Moi je coûte cher – R. Lucchesi

On n’est pas là pour se faire engueuler – B. Vian/J. Walter

Quand j’aurai du vent dans mon crâne – B. Vian/S. Gainsbourg

Si tu t’imagines – R. Queneau/J. Kosma

Strip-rock – B. Vian/A. Goraguer

Talkie walkie – S. Gainsbourg

Trompette d’occasion – B. Vian/H. Salvador

Une bonne paire de claques – B. Vian/H. Salvador

Extraits de presse

La bande du Tabou s’est donc réincarnée sous les traits de jeunes venus du Studio d’Asnières qui inaugurent de très jolies chorégraphies d’abeilles capables de tirer de nos mémoires parfois jaunies, ce miel dont nous avons tant besoin pour réveiller nos ardeurs. Qui danse, qui chante, qui parle ? Qui rêve sinon les spectateurs qui croient vivre un rêve éveillé, celui de la bande du Tabou, quand les mots font la fête et s’entrelacent joyeusement, se conjuguent aux corps pour les faire danser, s’échappent du piano, des percussions, guidés par leur seul flair.
Véritable comédie musicale où chaque danseur- chanteur- comédien s’amuse à sur jouer des personnages célèbres : Françoise, Simone Jean Paul, Marcel, Serge, Jacques que les spectateurs se feront un plaisir de retrouver derrière leurs prénoms.
Les spectateurs de ce joyeux cabaret dansant, piqués par ces guêpes effrontées, sauront reconnaitre le dard de Boris et les autres, en guise de tatouage de leur éternelle jeunesse.
Vous qui refusez de vieillir, empressez-vous d’aller boire cet élixir au Théâtre 13, à consommer sans modération ! Le Monde.fr

La scène est remplie d’une liberté créative collective. De jeunes créateurs pleins de joie. La coulisse.com

Le spectacle, bien que fidèle à la tradition du cabaret, réussi brillamment à aller au-delà de l’hommage par son ton résolument contemporain et son tempo parfaitement étudié fruit d’un énorme travail des comédiens autours des personnalités choisies, d’un sens aigüe du détail, mais aussi grâce à la somme de petites trouvailles visuelles et narratives semées tout au long du spectacle.
Les musiciens présents sur scène interprètent avec talent l’ensemble du répertoire et se plient à la folie douce des personnages, devenant eux-même partie prenante par leurs personnalités du spectacle. Françoise, Jean-Paul, Boris et les autres prennent peu à peu possession de la salle, le quatrième mur tombe, 65 ans sont effacés et l’alchimie opère. Saint-Germais-des-Près se révèle à nous comme par magie, tel un négatif sur une photo d’époque.
A la sortie de la cave le spectateur semble revenir d’un long voyage, dépaysé, ailleurs, avec un petit air dans la tête, de belles phrases sur les lèvres, un pas de danse qui titille les jambes.
On ne peut qu’applaudir ce petit bijou musical et théâtral, au rythme endiablé, au ton léger et décalé, servi par une troupe dynamique et inspirée. Voilà qui devrait rassurer les nostalgiques à propos de la jeune génération, qui à l’instar de ses ainés, a toujours du talent, de l’énergie et de l’espoir à revendre. Froggy’s Delight

À la fois chanteurs, danseurs et comédiens, les jeunes interprètes de La Bande du Tabou se succèdent au micro dans la peau de leurs illustres modèles. On ne résiste pas longtemps à l’ambiance qui submerge le plateau. Théâtre et chant s’embrassent follement, drôlement ou sensuellement illustrant à merveille la grande liberté des artistes de cette époque. Sans mimer leurs personnages ni avoir leurs voix, les doubles de Gréco, Barbara ou Gainsbourg offrent des interprétations personnelles très convaincantes. Et quand les bombes atomiques débarquent en culottes fluos pour un ballet loufoque et gracieux, une poésie exaltante embrase l’air. Idem avec cette drôle de danse exécutée à quatre doigts. Rhinoceros.com

Ils sont une douzaine de comédiens-chanteurs et musiciens, réunis sur le plateau du Théâtre 13/Jardin, à restituer dans la bonne humeur, enthousiastes et talentueux, cette période d’après-guerre et l’atmosphère endiablée du  cabaret mythique.
Aux chorégraphies et autres mouvements de groupe, (de beaux moments de Be-Bop), succèdent des interprétations en solo (toujours fort réussies) des succès de Boris Vian, Juliette Gréco ou Serge Gainsbourg qui ne sont jamais des imitations mais à chaque fois, de savoureuses créations. Des personnages s’invitent pour des prestations  irrésistibles (un duo Sartre-de Beauvoir, une interview déconcertante de Sartre, une apparition de Françoise Sagan ou d’intempestives apparitions d’une Zazie tout juste sortie de l’imagination de Raymond Queneau)
Le spectacle s’achève sur la très belle chanson nostalgique de Guy Béart que Juliette Gréco mit à son répertoire, « Il n’y a plus d’après à St Germain-des-Près ». Mais au lieu d’être une conclusion mélancolique, la chanson chantée par les douze artistes dans une version jazzy, ouvre sur l’avenir et devient une sorte d’incitation à espérer, pour la chanson et pour tout le reste, de prochains jours enchantés. SNES

Et pendant le temps d’un spectacle les voici tous à donner un moment de bonheur aux spectateurs, les vieux comme les jeunes et les moins jeunes. Chacun retrouve les grands succès comme Le Déserteur, J’suis snob, et ceux qu’on avait oubliés comme Chambre 33, Adrienne, et c’est un plaisir partagé de voir comment cette troupe s’en empare, s’investit, tourbillonne.
Les spectateurs sont invités à chanter avec elle, à danser, à partager.
On voudrait rester toute la nuit avec eux et plus, peut-être… blog D.Dumas

Pas de tentative de reconstitution de l’époque, le ton décalé est donné d’emblée : on revisite cette histoire avec l’humour, la liberté et la distance du regard d’aujourd’hui autant dans le traitement des séquences que dans l’interprétation des personnages.
Pas de nostalgie, ni de regrets dans le spectacle, de cette époque révolue de liberté, d’invention, de création débridées et d’espoirs infinis. L’énergie, l’enthousiasme, le savoir-faire, l’humour et la bonne humeur de ces acteurs de bonne foi, bourrés de talent, laissent plutôt croire que tout cela est aujourd’hui possible à reconquérir. Kourandart

Le microphone libère des chansons quelque peu oubliées et, pour le plus grand plaisir du public, elles sont interprétées avec l’intonation de circonstance par les chanteurs de La Bande du Tabou. Surprises, découvertes ou redécouvertes. L’atmosphère, une envie d’aller partager un verre avec un Gainsbourg provocateur, parler vers avec Prévert, écouter les propos dithyrambiques de l’existentialisme de Sartre, cacher le déserteur de la chanson de Vian, participer aux chorégraphies collectives, donner « une bonne paire de claques » à Zazie l’effrontée.
La convivialité se veut franche et spontanée de l’accueil à la sortie du public, considéré en invité.
L’effervescence gagne la salle, l’effet de proximité scène-public produit des surprises et un entrain constant entre les comédiens et les spectateurs. Théâtrothèque

Au Théâtre 13, douze artistes rouvrent et réinventent le Tabou, fameux club de la rue Dauphine, pour une réjouissante et intelligente évocation de ceux qui firent, après guerre, la légende de ce quartier parisien. Vian, Gréco, Sartre, Beauvoir, Prévert, Sagan, Gainsbourg, et même Zazie (dans le métro)… Ils sont tous là ! Chantent, dansent, débattent. Du théâtre musical impeccablement conçu, poétique, truffé de trouvailles, aux dialogues malicieux, qui restitue un climat bien particulier et parvient à saisir brillamment l’âme et les aspirations de la jeunesse créative d’alors. Fous de Théâtre

Venez revivre avec eux ces moments fabuleux, ils sont là jusqu’au 23 juin au théâtre 13 /jardin.Vous en sortirez avec la pêche, le sourire aux lèvres et des fourmis dans les jambes. Regarts
 



Extrait vidéo

Rencontre

Rencontre
avec toute l’équipe artistique, le dimanche 2 juin 2013 à l’issue de la représentation vers 17h.

Garde d’enfants

Garde d’enfants
dimanche 9 juin 2013 pendant la représentation de 15h30 (6€ par enfant) –
Spectacle de conte / atelier / goûter avec Carole Visconti.

Réservation indispensable au 01 45 88 62 22

en savoir plus

Café Philo

Jeudi 30 mai 2013 à 19h30 dans l’espace caféteria du Théâtre 13 / Seine
L’Espoir

Entrée libre sur réservation au 01 45 88 62 22 – une consommation au bar vous sera demandée.

Théa, agence de philosophie créée en 2012 par Flora Bernard, Marion Genaivre et Audrey Picard, propose au Théâtre 13 d’animer des ateliers philosophiques ouverts à tous et gratuits, dans l’espace restauration du Théâtre 13 / Seine. L’une des motivations fortes de Théa est de faire sortir la philosophie de l’université pour la faire entrer dans la vie de tous les jours, là où elle peut apporter un éclairage sur le vécu de chacun. Les ateliers philosophiques sont une occasion de prendre le temps de penser, de questionner, d’expérimenter l’écoute active.

Théa propose d’organiser des ateliers, dès janvier 2013 à raison de un par mois, qui touchent un thème abordé dans les pièces programmées par le Théâtre 13.





Le thème en lien avec La Bande du Tabou sera l’Espoir.
L’Atelier aura lieu le jeudi 30 mai 2013 à 19h30 dans l’espace caféteria du Théâtre 13 / Seine

Objectifs d’un atelier philosophique Théa.

L’atelier Théa a deux objectifs principaux :
– Proposer aux participants des éléments philosophiques de fond sur des sujets proposés
– Proposer aux participants de faire l’expérience de la pratique philosophique, notamment autour du questionnement, de l’écoute et de l’argumentation.

De manière plus spécifique, il s’agit de faire l’expérience :
– du questionnement en prenant le temps de poser la « bonne » question ;
– de l’écoute active, grâce à un véritable dialogue avec les autres participants ; le philosophe de Théa veillera à ce que les échanges ne tournent pas au café du commerce, débat d’opinions au cours duquel chacun donne son avis sans se soucier de celui des autres.
– du développement d’un argument
– de la remise en question personnelle suite à une réflexion philosophique

Durée : 1h30





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