T13 / Bibliothèque
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Festival don quijote

El Retablillo de Don Cristobal / Garcia Lorca
El Corral de Bernarda / Garcia Lorca
Du 17 au 20 décembre 2014
T13 / Bibliothèque
2h

Le Théâtre 13 accueille Festival Don Quijote avec la compagnie bolivienne DITIRAMBO : deux spectacles dans une même soirée alliant théâtre et marionnettes.

El Corral de Bernarda
Tragicomédie bouffonesque – 1h
Mise en scène, texte et dramaturgie Luis F. Jimenez d’après Garcia Lorca et Ernesto Caballero
Un spectacle total et burlesque, haut en couleurs et accents latino-américains

suivi de

El Retablillo de Don Cristobal
Farce pour marionnettes et bouffons – 40 minutes
Mise en scène, texte et dramaturgie Luis F. Jimenez d’après Garcia Lorca
Farce conjugale pour marionnettes et bouffons, transposée en musique, dans la tradition espagnole et la culture populaire bolivienne.

site du festival
 

El Corral de Bernarda

El Corral de Bernarda
Tragicomédie bouffonesque – 1h

Un spectacle total et burlesque, haut en couleurs et accents latino-américains

Note d’intention
Le drame lorquien à huis clos féminin, La casa de Bernarda Alba, a inspiré Pepe el Romano d’Ernesto Caballero dans lequel apparaissent les personnages masculins. El Corral de Bernarda s’inspire des deux textes dans une adaptation libre, faisant jouer tous les personnages masculins et féminins par des hommes pour une évocation de l’universalité et de la modernité des schémas lorquiens de la répression morale, des relations homme-femme et des identités.
La relation entre Adela et Pepe el Romano est racontée et parodiée par un groupe de marginaux, dans une adaptation aux couleurs et rythmes latino-américains.

La mise en scène fait une représentation de la transgression et du franchissement des lignes entre l’univers masculin et l’univers féminin, entre enfermement et liberté, raison moraliste et folie délirante. Un seul personnage est créé, c’est celui de Roseta, personnage déjà moderne évoqué par Lorca, et cette-ci fois incarné pour dénoncer la violence intemporelle subie par les femmes.

Le jeu de bouffon accentué par le travestissement permet de passer de la poétique de Lorca à une esthétique grotesque relevant de l’esperpento, et le passage du drame à la comédie, tout en respectant dans leurs essences les univers et les dimensions dramatiques des deux textes.



La mise en scène, sans complaisance, souligne l’universalité de la misère et de la violence humaine révélée dans ce drame.

Ce spectacle a été créé au Conservatoire de Madrid (RESAD) et cette nouvelle adaptation a été présentée en 2011 pour l’ouverture du festival International de Santa-Cruz en Bolivie et a obtenu le Prix TIQUI 2011 du Théâtre Bolivien (Meilleur Spectacle et Meilleure Mise en Scène)

Avec Porfirio Azogue, Carlos Cova, Geronimo Mamani, Pablo Antezana, Roberto Kim, Ariel Vargas, Carlos Ureña, Jorge Arturo Lora et le musicien Daniel Gonzalez
Mise en scène, texte et dramaturgie Luis F. Jimenez d’après les personnages de La casa de Bernarda Alba de Federico García Lorca et de Pepe el Romano d’Ernesto Caballero
Adaptation et dramaturgie Luis F. Jimenez, Scénographie Luis F. Jiménez, Pablo Antezana et la Société Spin, Lumières Pablo Antezana et Carlos Cova, Costumes et prothèses Mariana Sueldo et Darwin Mendez, Assistanat Mariana Sueldo, Technicien lumières Manglio Agreda
Production Compañía Ditirambo, avec le soutien (en Bolivie) de Gobierno Autónomo Municipal de Santa Cruz, APAC/Festival Internacional de Teatro de Santa Cruz, Grupo Editorial La Hoguera, Diario El Deber, Marcelo Arauz et (en Espagne), AECID / Ministère des Affaires Etrangères.

 

El Retablillo de Don Cristobal

El Retablillo de Don Cristobal
Farce pour marionnettes et bouffons – 40 minutes

Farce conjugale pour marionnettes et bouffons, transposée en musique, dans la tradition espagnole et la culture populaire bolivienne.

Une farce qui raconte le mariage arrangé par la mère d’une jeune belle et infidèle avec un vieillard. Cette adaptation est inspirée de la tradition théâtrale espagnole et est transposée à la culture populaire bolivienne à travers les chants et la musique.

Note d’intention
Dès la première lecture de la Farce de don Cristobal on ne peut échapper aux images ni au voyage à travers la culture populaire espagnole, des Intermèdes de Cervantes à l’Esperpento de Valle –Inclan, des peintures de Velazquez aux Caprices de Goya. De ces sources je me suis inspiré pour la création de la Farce de Don Cristobal, en les transposant à la culture populaire bolivienne.

Lorca fournit les personnages, suivant un de ses principes que le théâtre doit être le reflet fidèle de la réalité humaine, réalité qui doit apparaitre sans ornement et sans affectation : les combats, les passions , les conflits de l’être humain doivent être présentés tels qu’ils sont, bien qu’ils apparaissent tortueux, violents, désagréables…Nous apportons les textes de chants et les musiques issus de la tradition populaire bolivienne, pour conter cette farce qui ne relève pas seulement du divertissement mais traite aussi de thématiques universelles.
Les marionnettes sont libres, spontanées, comme leur langage, et les gros mots sortent avec ingénuité et fraicheur de leurs bouches.

En m’inspirant de l’Esperpento, j’ai mis les manipulateurs sur scène et les ai vêtus de bouffon pour qu’ils se rapprochent, dans la représentation, de la spontanéité et de la liberté des marionnettes.

Les bouffons ont comme fonction de casser les limites du cadre et de la scène, d’exprimer librement les passions des personnages en recherchant la pureté de la représentation et la communion avec le public, dans l’unique but de faire du théâtre pour les spectateurs. Et comme Federico Garcia Lorca, nous revendiquons l’indépendance du théâtre face aux exigences du marché, aux caprices des acteurs et aux goûts du public bourgeois, et nous retrouvons, comme dans son théâtre de marionnettes, la simplicité, la fraicheur et la force pour exprimer les passions humaines.

Luis F. Jiménez
Metteur en scène

Mise en scène, texte et dramaturgie Luis F. Jimenez d’après Federico Garcia Lorca
Avec Porfirio Azogue, Carlos Cova, Geronimo Mamani, Pablo Antezana, Ariel Vargas et Carlos Ureña
Assesseur musical Berty Bracamontes, Scénographie Luis F. Jiménez et Carlos Ureña, Lumières Pablo Antezana et Carlos Cova, Prothèses Darwin Mendez, Réalisation des décors Pablo Antezana, Réalisation de marionnettes Carlos Ureña, Technicien lumières Roberto Kim
Production Compañía Teatral Ditirambo/Roberto Kim, avec le soutien du Gobierno Autónomo Municipal de Santa Cruz, Grupo Editorial La Hoguera, Diario El Deber



Compagnie Ditirambo

Compagnie Ditirambo
Nait comme une troupe de théâtre universitaire en 1999 puis se constitue en 2003 en compagnie professionnelle de théâtre indépendant. Comptant une quinzaine de spectacles du répertoire classique de Shakespeare, de Lorca et des auteurs contemporains latino américains en passant par la comédie musicale jusqu’aux créations collectives sur des thématiques historiques.
La ligne artistique de Ditirambo s’inscrit dans une réflexion humoristique et critique de la société.

Luis F. Jiménez- Metteur en scène
Espagnol, venu à Paris pour des études de théâtre ; formation avec Jacques Lecoq, Philippe Gaulier, Monika Pagneux, et licence d’Etudes Théâtrales à l’Université de la Sorbonne, il a fondé le Groupe Zorongo pour la production et la diffusion d’oeuvres théâtrales de caractère hispanique. Il a ainsi mis en scène: Ay, Ay, Ay Lorcas, Llanto de Claveles, Paseo a la sombra de la luna (récital de poésie), Ay Carmela de Jose Sanchis Sinisterra, Stimulant, amer et nécessaire de Ernesto Caballero, Dompteur d’ombres de Itziar Pascual.
Il a été aussi sollicité pour des mises en scène en Espagne par le Conservatoire National d’Art Dramatique (RESAD) de Madrid… en Colombie par la Cie Tacita de Plata à Medellin, en Bolivie par la Cie Ditirambo.
Ces productions ont été programmées dans diverses tournées et festivals internationaux : Festival d’Automne de Madrid, Festival Iberoamericano de Bogota, Festival Hispanique de Miami….
Pour mieux faire connaitre le théâtre et la culture espagnole en France, il a créé le Festival Don Quijote à Paris en 1992 (Prix Max 2011 de la critique espagnol) ainsi que la programmation Flamenco du Théâtre National de Chaillot en 2001.
En 2003, pour ces initiatives innovantes, il a été décoré du Mérite Civil par Juan Carlos I.
Il partage également son expérience théâtrale en animant des stages en Colombie, en Bolivie, aux Etats-Unis au City College-Université de New York, au Burkina Faso au Centre Culturel Gambidi de Ouagadougou. Il a enseigné en Espagne au Conservatoire National d’Art Dramatique de Madrid (R.E.S.A.D), Cette année il est enseignant à Sciences Po -Paris.



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