T13 / Glacière
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Célébration, précédé de le monte-plats

Comédie de Harold Pinter
Mise en scène Alexandre Zeff
Du 23 au 28 octobre 2007
T13 / Glacière
1h50

Pinter fait fusionner deux mondes, celui de la situation quotidienne, consciente, de la réalité de surface, dont chacun se sert faute de mieux dans sa hâte de se guider d’après les apparences les plus grossières, et celui de la réalité cachée, de la réactivité intrapsychique, qui contredit l’autre, l’altère et donne toute l’épaisseur psychologique à ses personnages.
Il exprime ainsi le dialogue intérieur guettant l’instant où la vérité les envahit comme une révélation, démasquant alors la contradiction totale entre ce qui est dit et ce qui est ressenti.

Il s’agit donc pour nous d’exposer les choses non pas telles que nous croyons les voir mais telles qu’elles sont vraiment, c’est-à-dire transposées à travers le prisme de notre imagination, comme à travers un miroir déformant.
Aujourd’hui plus que jamais, nous sommes soumis à une oppression politique, sociale et morale qui érode nos libertés fondamentales. Ainsi nous refoulons certains de nos besoins vitaux au plus profond de nous-mêmes. Ce comportement apparemment anodin qui nous permet de nous intégrer au sein de la société, nous conduira inévitablement à notre perte.
Le pire c’est que nous pouvons ne jamais nous en apercevoir, vivre toute une vie dans un mensonge absolu pour les autres et pour nous-mêmes et finir par oublier ce que nous sommes réellement, ce que nous voulons vraiment, pour ne plus être que de simples marionnettes que nous manipulons nous-mêmes formant ainsi une société artificielle, construite sur un mensonge perpétuel.

 

Avec Nelly Antignac, Nicolas Buchoux, Philippe Canales, Florent Cheippe, Maroussia Dubreuil, Antoine Hamel, Stanislas Sauphanor, Sophie Neveu et Adeline Zarudianski.

Traduction Eric Kahane (Le monte-plats) et Jean Pavans (Célébration), Assistante à la mise en scène Hélène Thomas, Scénographie Sarah Lefèvre, Création lumière Laïs Foulc, Création son Jean Baptiste Droulers.
Textes édités aux Editions Gallimard. Production Compagnie La Camera Oscura. Remerciements à Julie Brochen et au Théâtre de l’aquarium, au JTN, Félicien Delon, Emilie Gavoiskahn, Rebecca Convenant et à tous ceux qui nous ont soutenus dans ce projet

 

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