T13 / Glacière
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Les lundis du 13

Du 6 octobre 2003 au 6 juin 2004
T13 / Glacière

Des lundis ludiques en musique, avec des auteurs compositeurs interprètes que nous aimons tout particulièrement et que nous vous invitons à découvrir d’urgence dans une ambiance joyeuse et décontractée.

Lundi 20 oct.
à 20h30

Peggy l ‘Amour Le Dernier Concert
Un tour de chant de Corinne Marsollier

Mise en scène Gaël Lescot
Avec Corinne Marsollier, Gaël Lescot, Franck Petit, Eric Laguigné (piano) et Juliette Maeder (Violoncelle).
Textes de G. Lescot, musiques de F. Fouquet, E. Laguigné, C. Caussimon

Peggy l’Amour, chanteuse aux allures de star hollywoodienne de l’ancien temps, entre en scène et chantera ce soir pour la dernière fois.
Accompagnée de ses musiciens, elle est entourée par deux boys de cérémonie qui, entre chaque chanson, vous conteront son histoire, grandiose et dérisoire.
Comment, en 1977, âgée d’à peine quinze ans, Jeannette Bahuaud devint Peggy l’amour et fit scandale avec sa première chanson narrant la vie et les fantasmes d’une prostituée.
Comment la nouvelle « Lolita » de la variété française enchaîna alors succès sur succès. Ils vous diront les années de gloire, et les désillusions à venir, la vie nocturne, les drogues, les mensonges…
Vous saurez enfin tout de sa « love story » avec Jack M., l’ennemi public N°1 de l’époque. Leur épopée merveilleuse et tragique, la mort de son amant si cher et la déchéance de l’ex-baby doll.
Les come-back ratés, les rires et les larmes, le désespoir jusqu’au drame fatal.
En direct, face à vous, Peggy L’Amour revient ce soir avant de disparaître à tout jamais. Mais chut…

Lundi 15 déc. à 20h30 Concert Marianne James

Après 11 ans de tournée, 1075 représentations, un Molière, l’Ultima Récital et sa diva « germano-déjantée » s’éteignaient ! Aujourd’hui son interprète, Marianne James change de ton et s’offre à nous avec spontanéité et naturel dans un concert intimiste. Seule en scène, elle se dévoile à travers des compositions originales et s’amuse à des reprises audacieuses et groovy !

Revue de presse :
Une boule de swing ! – Libération La diva troque sa défroque classique pour des effets plus rock . – Le parisien Seule à la guitare, la voix s’écoule dans un chant limpide, intime et chaleureux. – La Croix Dans sa messe de jubilation et de goinfrerie, il y a plus d’humeur libertaire que de manières libertines, d’aveux que de provocations. – Le Figaro Si la diva s’est défaite de son enveloppe de cantatrice de l’Ultima Récital, elle a gardé la puissance d’une voix d’or et la séduction liée à la rareté. – Le Progrès

Lundi 9 fév.
à 20h30
Concert Clovis, le musicopathe et les musicodingues

Avec Clovis (multi-instrumentiste, chant et sketches), le Marquis (accodéon), Bernard Brimeur (contrebasse), Eric Maunoury (batterie) et Siegfried Mandacé (guitare).
On peut lui coller presque tous les adjectifs de la folie : Clovis le loufoque, Clovis l’excentrique, l’insolite et le fou, le tournesol des instruments délirants, mais aussi Clovis le musicien, l’excellent clarinettiste qui accompagna Lionel Hampton, Dizzy Gillespie et Charlelie Couture.

Véritable homme orchestre, Clovis nous emmène du rire à la pure folie au gré d’instruments bizarroïdes issus de son imagination débordante. Jouant avec un égal talent du gainsbourrophone, ou de la flûte Jacob Delafon en tube 32, Clovis est à la fois clown, musicien, chanteur, chansonnier, poète farfelu et pourtant véritable virtuose. Son spectacle, truffé de gags mené à un rythme délirant, enchante, étourdit, nous entraîne loin de la morosité quotidienne, et reste pour tous un moment de bonheur sans égal.

Extraits de la revue de presse
Il danse, il chante, il trépigne, c’est drôle, c’est dingue, c’est délirant. Le point Spectacle, présence, physique marrants. Un artiste qu’il faut absolument voir. Clovis pourrait bien annoncer en fanfare l’entrée d’une nouvelle génération de clowns musicaux. Libération Beaucoup de talent, un rire ou Rabelais se retrouverait. Elle Un grand artiste désopilant. Un clown pas traditionnel du tout, un acteur qui sait faire se tordre le public. Nouvel observateur Un musicien exceptionnel, unique au monde, doué de génie inventif, dans lequel on reconnaît les grands, un ancien des Beaux-Arts, joyeux, loufoque, son spectacle ne ressemble à rien de connu. France Musique.

Lundi 5 avril
à 20h30
Mamouchka
sur des rives escarpées

Avec Véronika Boulytcheva (chant et guitare), Natalia Ermilova (chant et violon), Estelle Amsellem (contrebasse).

Trio féminin, mamouchka interprète des chansons traditionnelles russes : mélodies populaires de l’Oural et de la vieille Russie, chansons des petits cabarets ruraux, ballades de la grande plaine.

Energie, fraîcheur, virtuosité, mamouchka incarne le souffle et l’esprit d’une Russie immortelle et toujours en possession de son génie créatif.
Les artistes, respectueuses d’une certaine authenticité, n’en apportent pas moins une couleur personnelle, rendant ces vielles mélodies toujours actuelles et parfois inoubliables.

Un hymne à la joie de chanter, où la fraîcheur des voix n’a d’égal que la force du coeur.

Extraits de la revue de presse :

Leurs noms ne figurent pas en tête des hit parades internationaux. Pourtant, les deux voix de l’Oural, Natalia Ermilova et Veronika Boulytcheva, méritent le détour. Loin de l’agitation médiatique et des standards habituels des variétés mondiales, elles proposent aux spectateurs un voyage d’une heure trente dans la Russie d’hier et d’aujourd’hui à travers une sélection de musiques et de chansons traditionnelles et contemporaines.
Le Monde

Ce qui frappe dans leur performance, c’est avant tout la pureté de leur voix.
Telles des poupées russes, les deux jeunes chanteuses n’en finissent pas de se transformer et d’étonner. Plus elles avancent dans leur spectacle, plus ces voix de l’Oural nous dévoilent des dons inconnus […] Là où d’autres se contentent de tours de cabaret, elles parviennent à marier habilement les cultures russes. S’il fallait trouver une comparaison, elle pourrait se faire autour du renouveau de la musique celtique qui mêle également des formes musicales très contemporaines sur fond de tradition. Les morceaux a capela s’alternent avec des pots-pourris russes, juifs et de musique classique, des airs slaves mais aussi des chansons connues des français comme Les Yeux Noirs ou Nathalie.

Le Parisien

Lundi 24 mai à 20h30 Concert Laurent Madiot
Week-end Couette
Avec Laurent Madiot (chant et guitare), Ghali Hadefi (guitare et choeur), Jeff Hallam (contrebasse et choeur).

On lui doit l’écriture du Petit Monde de Georges Brassens, récent succès de la Troupe du Phénix, dont il a partagé un temps l’énergie bondissante, avant de revenir à la scène chanson en 2002 avec Ciao Beauté : un spectacle protéiforme aujourd’hui radicalement resserré et transformé. De nouvelles chansons s’y intègrent, révélant des zones d’ombre jusqu’ici occultées par la fantaisie et les pitreries du chanteur-comédien. L’autodérision se voile d’ambiguïtés, la fête multicolore se noircit de quelques taches de cambouis ; par contraste, la douceur d’un ‘Week-end Couette’, la poésie onirique d’un texte de Rimbaud, la mélancolie discrète d’un ‘Désolé Mignonne’ s’exposent avec une délicatesse plus émouvante. A cet univers complexe répond un dépouillement musical aux dérangements éloquents et subtils, entre les guitares de Csaba Palotaï ou Ghali Hadefi et la contrebasse de Jeff Hallam. Le tout, mis en espace sous le regard exigeant d’Olivier Prou. Pascale Bigot

Laurent Madiot : Extraits de la revue de presse
Il est de ceux qui manient les mots comme d’autres jonglent avec des balles : tout en finesse et en habileté… Les chansons de son premier album se savourent comme autant de sucreries douces et fondantes, véritables concentrés de bonne humeur… Le ton léger rappelle facilement celui de Matthieu Boggaerts ou de Sanseverino. Sans prétention mais réussi, à prescrire d’urgence à ceux qui commenceraient à prendre la vie trop au sérieux.Longueur d’Ondes
Quand la jeune chanson française fréquente plutôt le vague à l’âme et le souffle court, l’envie du sourire et d’une manière de poésie absurde perceptibles chez Laurent Madiot séduisent. L’incarnation de personnages un peu à côté de leurs pompes, parfois lunaires (Frugal coït, Moi… si… mais… non, Week-end couette) bénéficie d’une diversité d’approches musicales (ballade africaine, rock psyché, jazz manouche, blues…) toujours juste. Au final, les virelangues de Kiki la cocotte sont un régal. Le Monde
… Laurent Madiot, un ‘beau gosse-chanteur’ avec un style, un humour, une distance, un flegme immédiatement familiers et qui pourtant n’appartient qu’à lui. Une sorte de croisement entre un Jacques Dutronc souriant et un Bourvil rock’n roll… La Terrasse

 

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