Les métronautes
T13 / Bibliothèque
« Les Métronautes, il vaut mieux les avoir sur scène ! »
Menés par un chef de rame musicalement inspiré, ils se côtoient, se croisent, s’ignorent ou se charment, avec folie et inventivité, offrant une traversée haute en couleurs sur les rails du quotidien, faisant de ce lieu du prosaïsme un grand moment de poésie, nourri d’humour et d’émotions.
Voyage insolite et loufoque
Dans un espace minimaliste inspiré du métro, Les Métronautes nous entraînent dans une mécanique conduite par le chef de rame et d’orchestre, batteur fou et inspiré. Le mouvement obsédant des entrées et sorties ainsi que l’espace contraint donnent naissance à des situations insolites et loufoques. Ces courts voyages traversent les rêves des passagers et filent peu à peu vers l’absurde.
A l’aide de ce dispositif particulier, Arthur Deschamps, auteur et metteur en scène, parle aussi du frottement qu’induit une relation humaine dans un espace contraint à travers l’étrangeté de certains moments du quotidien et la poésie qui en émane.
A les voir, nous sommes face à nous-mêmes, nos névroses, nos fantasmes, nos fantaisies, nos absences, nos préjugés, nos peurs… »
Générique
avec Patrice Bertrand, Luana Duchemin, Nicolas Fenouillat, Marina Glorian, Lucas Hérault, Alexandre Lenis, Canaan Marguerite, Marlène Rabinel et Pauline Tricot
Assistante à la mise en scène Camille Merité, Chorégraphie Nour Caillaud, Accompagnement corporel Paul Ankri, Percussion Nicolas Fenouillat, Costumes Félix Deschamps, Lumières François Menou,
Production déléguée Specta Films C.E.P.E.C., Coproductions Théâtre National de Bretagne, Studio Libre, La Coursive – Scène Nationale de la Rochelle, Les Productions Michel Boucau, La Compagnie Nilanthi. Avec le soutien de la Spedidam et du Théâtre 13 / Paris (dans le cadre d’une résidence de création).
Revue de presse
Le spectacle est construit comme une succession de saynètes et gags, avec de vrais moments de poésie. L’univers déjanté du jeune Des- champs puise dans le comique de situation et l’absurde mais aussi dans le vécu. Et c’est ce qui fait rire. Ouest-France
Ils sont dix, dont un percussionniste qui a le sens de l’humour. En complicité avec Nour Caillaud pour l’indispensable chorégraphie, le jeune Deschamps précipite sa bande dans une rame de métro et imagine des scènes burlesques qu’il règle avec esprit. Le Figaro